Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Mar 23 Avr - 3:33
« Les filles, je vous présente Kirstin. » Sloane leva la tête de sa console, aujourd'hui était donc le fameux jour où son père se décida à leur présenter sa nouvelle copine. Il ne fallut que quelques secondes à Sloane pour dévisager la jeune fille des pieds à la tête; blonde taille mannequin, sourire niais et habillée comme une prostituée, il était évident que si elle se tenait à côté d'un vieux de quarante-quatre ans c'était d'avantage pour son portefeuille que pour sa personne. « Fuck !» Même si elle n'avait relevée la tête que pour quelques secondes, Sloane venait de perdre son niveau et elle devinait le regard de son père dans son dos. Heureusement pour Kirstin, Sloane n'était pas la seule fille de son amoureux, non Aspen était légèrement plus âgée et possédait un caractère bien différent de sa frangine. « C'est un plaisir de vous rencontrer, Kirstin. Papa, nous parle si souvent de vous... » Sloane eu un haut le coeur en entendant les bonnes paroles de sa soeur. Leur mère était morte quelques années plus tôt d'un cancer et bien évidemment pour Sloane, son père s'était mis en couple beaucoup trop rapidement qui plus est avec une fille de vingt-cinq ans. « Je vais au cimetière voir maman. Oui parce qu'au cas où vous avez oublié, elle a existé et bien avant cette barbie ! » Sloane quitta la pièce sans prendre attention aux serments de son père, elle n'avait que quinze ans à l'époque mais son caractère était déjà bien affirmé.
« Tu peux au moins lui faire faire un essai, non ? Qu'est-ce que ça te coûte ? » « Pas envie de te rendre service. » Les disputes avec sa soeur, c'était assez fréquent et puis Sloane devait se l'avouer elle adorait voir sa soeur trépigner et essayer de garder son calme. Si Aspen avait une apparence douce, calme et posée, Sloane savait très bien que c'était le résultat d'un contrôle permanent sur elle-même et elle s'amusait plus que de raison à faire enrager sa soeur et enfin voir le masque tombé. « Tu sais qu'il me suffit de passer par papa pour qu'il soit engagé ?!» « Si ça t'amuses de voir tes amis vivre un enfer, fais donc !» La dispute de ce jour concernait l'un des meilleurs amis d'Aspen, il venait de terminer sa licence de sport-études et il cherchait un boulot pour se faire un peu d'expérience, et en étant en contact avec une Robbins, il aurait été idiot de ne pas demander un boulot dans l'un des complexes A.Robbins. Seulement petit hic, la seule salle qui cherchait de nouveaux contrats était celle gérée par Sloane. « Ok, je te le demande comme une faveur...Dis-moi ton prix. » « Tu es prête à te vendre ? T'es sûre que c'est juste un ami ?» « Bon écoutes Sloane, on est plus au lycée, arrête de faire ta gamine. C'est un ami qui a besoin d'aide et je fais de mieux pour l'aider, si tu n'étais pas centrée uniquement sur toi-même, peut-être que tu comprendrais. » Elle détestait quand sa soeur avait le dernier mot, généralement c'était elle qui l'avait et ce jour-là elle devait se contenter de regarder sa soeur partir triomphante.
«Qu'est-ce que c'est que ce planning ? » Sloane était tranquillement installée à son bureau - naviguant sur facebook - lorsque Priam débarqua à la volée. « Excuse-moi, frapper aux portes tes parents te l'ont jamais appris ?» Sa soeur avait finalement eu gain de cause - grâce au soutien du paternel - et son amie Priam avait été embauchée pour un contrat de neuf mois au sein de la salle de sport. Bien évidemment Monsieur Robbins gardait un oeil sur sa plus jeune fille pour être sûre qu'elle n'exploite pas le jeune garçon, alors Sloane devait se montrer maligne. « ça n'a rien à voir avec le planning validé hier par ton père, Sloane. » « Il est vrai que j'ai apporté de légères modifications ce matin. » « Buanderie et sessions femmes enceintes ? Je crois que je vais passer un coup de fil à Aspen...» Sloane applaudit très lentement. « Bravo, ça c'est une belle mentalité Priam. Cours pleurer dans les jupons de ma soeur, à tous les coups tu remonteras dans mon estime. » Contre toutes attentes, Sloane ne reçut aucun coup de fil après cette entrevue avec Priam, ni Aspen, ni même son père ne téléphonèrent, elle en fut presque déçue. Priam se contenta de suivre le nouveau planning non sans rechigner. Les semaines passèrent et Sloane lâcha un peu Priam, lui laissant un planning correct comme les autres employés.
Un soir, alors qu'elle s'apprêtait à quitter la salle de sport, Sloane entendit la voix de soeur. « Tu es ici grâce à moi, Priam ne l'oublie pas ! » « Et je t'en suis très reconnaissant Aspen, mais si j'avais su que tu t'en servirais pour me faire du chantage, je n'aurais jamais accepté. » « Et si moi, j'avais su que tu voulais ce job juste pour pouvoir t'envoyer en l'air avec les clientes...» « De quoi tu parles ? Je ne couches pas avec les clientes...» Sloane pu facilement deviner le sourire narquois de sa soeur à ce moment précis. « Mais c'est ce que je vais dire à mon père, il sera facile d'avoir des témoignages contre un abonnement annuel gratuit...» Sloane sortit de sa cachette et s’avança jusqu'à sa soeur « Tu es pathétique Aspen. Papa ne croira jamais un traite mot de ce que tu dis, pas sans ma version pour confirmer, et je ne le ferais pas...» Un jeu de regard se déroula entre les deux soeurs pendant quelques secondes, Sloane reprit finalement la parole plus durement. « On est plus au lycée, Aspen. Tu t'es fait jetée, très bien, passe à autre chose. » « Bien sûr, tu te le fais ! Mais réveille-toi, il ne vaut pas mieux que Kirstin...Il est juste avec toi parce que ça fait bien sur le CV.» Et comme elle en avait l'habitude ces derniers temps, Sloane laissa sa soeur avoir le dernier mot et la regarda tourner les talons victorieuse. Elle en avait presque oublié l'existence de Priam, elle commença à se diriger vers le parking. « Hey attends, pourquoi tu n'as pas répliqué ?» « Qu'est-ce que tu veux dire ?» « Eh bien, on est pas ensemble et Aspen semble croire...Je ne veux pas attirer d'ennuis, j'ai besoin de ce boulot. » « Ecoutes, je n'ai rien affirmé à ma soeur, elle s'est montée la tête toute seule, lorsqu'elle se ridiculisera devant mon père, il mettra tous ses mensonges sur le compte de la jalousie amoureuse et toi, tu garderas ton poste. » « Tu es brillante !» Probablement dans un élan de joie, Priam attrapa le visage de Sloane et l'embrasse à pleine bouche. Un flash apparu et la seconde d'après, Sloane vit la voiture de sa soeur démarrer en trombe. « ça, ça ne l'était pas. »
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Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Mer 3 Juil - 6:12
Zippora a passée une grande partie de son enfance à Tallahassee en Floride. Elle a grandit dans un ranch où elle vivait avec ses grands-parents maternels et aussi ses parents, excepté une ferme à quelques mètres de chez eux, la famille Wright n'avait aucun voisins avant plusieurs kilomètres, si bien que Zippora étudiait à domicile avec son voisin - d'un an plus âgé qu'elle - « Ma mère m'a dit que Mister Gum était très malade. » Mister Gum était l'un des chevaux appartenant aux grands-parents de Zippora, et il était celui avec qui les deux enfants - et surtout Zippora - s'étaient liés d'affection. Suite à une blessure à la jambe, il était tombé très malade et dès lors Zippora passa tout son temps libre au côté du cheval - souvent en compagnie de Ray, son voisin et seul camarade de classe - « Dis Ray, tu penses que les chevaux qui meurent vont dans le même ciel que les humains morts ? » Malgré son jeune âge Zip' était très éveillée et souvent face à ses questions pour le moins directes, ses parents se contentaient de changer de sujet, mais pas Ray, lui, lui disait toujours la vérité - du moins sa vérité - « Ne t'en fais pas pour Mister Gum, je suis sûr qu'il veilleras sur nous de là haut.» L'inévitable arriva et Mister Gum rendit son dernier souffle, ce qui laissa Zippora profondément triste. Ce fut la première fois qu'elle fut confrontée à la mort et quelque part ça la fit grandir. « Vous avez pensé à Zippy ? Cette enfant n'a jamais connu que les étendues de plaines et la nature, comment pensez-vous qu'elle va s'acclimater à Chicago ? Sans parler d'aller dans une véritable école ! » Alors qu'elle était censée être au lit, Zippora avait entendu une conversation entre ses parents et sa grand-mère, cette dernière semblait un brin irritée. Quant à Zippora même si elle ne savait pas exactement où se situait Chicago, elle savait que cela n'avait rien de semblable avec l'endroit où elle habitait. « Hey Zip' , ma mère a dit qu'on pourrait se voir aux vacances. Puis je voudrais que tu ais ma peluche Mister Gum, pour pas que tu oublies d'où tu viennes. » À cet instant, il semblait impossible à Zippora de pouvoir oublier Tallahassee, mais elle n'avait que dix ans et une nouvelle vie s'ouvrait à elle sans même qu'elle ne le sache. Elle accepta la peluche en forme de cheval - légèrement abîmée par le temps - et éclata en sanglots dans les bras de son seul et unique ami. « Tu vas me manquer, Ray. » Quelques mois après son déménagement, la grand-mère de Zippora décéda et son grand-père - en plein deuil - décida de revendre le ranch et de partir vivre à Chicago avec son fils. Zippora ne remit jamais les pieds dans le ranch de son enfance et ne revit pas Ray comme ils se l'étaient promis. . Si la première année à Chigaco fut très difficile pour Zippora, quelques années plus tard il était presque impossible d'imaginer que la jeune blonde avait grandit dans un ranch et ses amis ne se privaient pas pour la taquiner avec cela, le surnom Cowgirl était l'un des plus fréquent. « Cul sec Zippo ! » Agenouillée devant la table basse, Zippora leva les yeux aux ciel. Ses amis avaient toujours le chic pour inventer de nouveaux cocktails - tous plus ignobles les uns que les autres - c'est en se pinçant le nez que Zip' avala la mixture verdâtre créer par ses amis et moins d'une seconde plus tard, elle fut prise d'un violent haut-le-coeur et eu tout juste le temps de se rendre aux toilettes. « ça ne compte pas Zip' , reviens ici. » « Il est hors de question que j'avale encore une goutte de ce mélange immonde. Je m'avoue vaincue. » Le jeu préféré de cette petite bande rencontrée au lycée, c'est le jeu des gages et aujourd'hui n'ayant pas réussit à garder la mixture dans son estomac, Zippora allait devoir se plier aux gages de ses amis et elle regrettait déjà d'avoir vomi la mixture alcoolisée. « L'accent texan ! » « Je viens de Floride. » « L'accent Texan en allant commander à Burger King ! » « Oh oui et tu dois commander au gars super mignon, c'est quoi son nom ? Todd ? » Zippora se retint de risposter, elle savait que quoi qu'elle dise, elle n'aurait pas le choix et puis elle aurait pu se retrouver avec un gage beaucoup plus sournois, l'accent Texan c'était un jeu d'enfant par rapport aux gages qu'elle avait déjà eu a faire. Zippora avait récemment emménagé dans un petit studio, même si elle reste très proche de ses parents, elle est bien heureuse d'avoir enfin son intimité. Elle a été diplômée l'année passée et travaille à présent - depuis quelques mois - dans une agence de voyage.
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Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Mar 16 Juil - 2:38
Dianna Agron a écrit:
« Mais vous n'êtes pas déjà mariés ? » « Si princesse, mais vois-tu lorsque deux personnes s'aiment très fort après de nombreuses années de mariage, elles peuvent se marier une nouvelle fois. » Fille unique, Leven-Skye a grandit dans un foyer uni et avec plein d'amour. Une enfance que la jeune fille n'échangerait pour rien au monde, sa vie s'est toujours bien accomodée entre ses parents et ses copines. Depuis la maternelle, Leven considère ses trois proches amies comme ses soeurs. . Si la première année à Chigaco fut très difficile pour Zippora, quelques années plus tard il était presque impossible d'imaginer que la jeune blonde avait grandit dans un ranch et ses amis ne se privaient pas pour la taquiner avec cela, le surnom Cowgirl était l'un des plus fréquent. « Cul sec Zippo ! » Agenouillée devant la table basse, Zippora leva les yeux aux ciel. Ses amis avaient toujours le chic pour inventer de nouveaux cocktails - tous plus ignobles les uns que les autres - c'est en se pinçant le nez que Zip' avala la mixture verdâtre créer par ses amis et moins d'une seconde plus tard, elle fut prise d'un violent haut-le-coeur et eu tout juste le temps de se rendre aux toilettes. « ça ne compte pas Zip' , reviens ici. » « Il est hors de question que j'avale encore une goutte de ce mélange immonde. Je m'avoue vaincue. » Le jeu préféré de cette petite bande rencontrée au lycée, c'est le jeu des gages et aujourd'hui n'ayant pas réussit à garder la mixture dans son estomac, Zippora allait devoir se plier aux gages de ses amis et elle regrettait déjà d'avoir vomi la mixture alcoolisée. « L'accent texan ! » « Je viens de Floride. » « L'accent Texan en allant commander à Burger King ! » « Oh oui et tu dois commander au gars super mignon, c'est quoi son nom ? Todd ? » Zippora se retint de risposter, elle savait que quoi qu'elle dise, elle n'aurait pas le choix et puis elle aurait pu se retrouver avec un gage beaucoup plus sournois, l'accent Texan c'était un jeu d'enfant par rapport aux gages qu'elle avait déjà eu a faire. Zippora avait récemment emménagé dans un petit studio, même si elle reste très proche de ses parents, elle est bien heureuse d'avoir enfin son intimité. Elle a été diplômée l'année passée et travaille à présent - depuis quelques mois - dans une agence de voyage.
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Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Mar 23 Juil - 5:23
Prénom Meyer
starring. jesse spencer (négociable)
The perfection has a name...
△ ÂGE : plus de vingt-huit ans. △ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : au choix. △ ORIGINES : au choix. △ NATIONALITÉ : au choix. △ SITUATION AMOUREUSE : célibataire. △ EMPLOI/ÉTUDES : interne en cancérologie. △ CARACTÈRE : réfléchi - sérieux - perfectionniste - quelque peu lunatique - . △ GROUPE : au choix.
Il sait depuis son plus jeune âge que sa vocation est d'être medecin, et il a toujours mis ses études en priorité quitte à ne pas profiter de sa jeunesse + Il vient d'arriver Toulouse - environ cinq/six mois - + Il a été élevé dans une famille avec beaucoup de principes et de valeurs et aujourd'hui il accorde une grande importance à ses valeurs quitte à paraître un peu vieux-jeu + C'est un perfectionniste dans son travail et en dehors aussi, c'est aussi quelqu'un de sensible et même sans le vouloir il s'attache facilement à ses patients ou la famille des patients.
Toi et moi, nous sommes liés...
extraits de ma fiche
Spoiler:
Jeanne arriva à l'hopital en trombe, elle demanda rapidement à la reception où se trouvait sa mère et courut jusqu'à la chambre. « Maman. » Jeanne s'effondra au chevet de sa mère - celle-ci dormait - « Vous devez être Jeanne ? Je vous ai vu courir dans les couloirs, je n'ai eu le temps de vous interpeller. » Jeanne revela la tête pour faire face à une silhouette qu'elle ne reconnaissait pas. Cela faisait plusieurs années qu'elle accompagnait sa mère pour ses visites à l'hopital et elle pouvait se vanter de connaître tous les visages du secteur de cancérologie - si jamais on peut se vanter de ce genre de chose - et le jeune homme qu'elle avait en face d'elle était inconnu au bataillon. « Excusez-moi, mais vous êtes ? » « Oui, excusez-moi. Je suis le docteur Meyer, nouvel interne et en charge du dossier de votre mère à présent. » « Quand est-il du Docteur Bonnet ? Je veux dire c'est lui qui suit ma mère depuis des annés et sans vouloir être impolie, il est plus experimenté ! » Le léger rire du jeune interne, gêna quelque peu Jeanne. Comment pouvait-il se permettre de rire dans une telle situation. « Ne vous inquiétez pas, le Docteur Bonnet supervise mon travail. Votre mère est entre de bonnes mains. »
« Je pense qu'elle a bu, Docteur. » « D'accord, laissez-moi m'en occupé. MAdemoiselle Leclerc, vous m'entendez ? » Jeanne pouvait brievement entendre ce qui se passait autour d'elle, mais l'alcool et surtout le chagrin lui avait enlevé toute énergie. Elle sentit une main se posée sur son épaule et un souffle chaud contre sa nuque. « Vous ne pouvez pas rester ici, je vais vous raccompagner chez vous et on s'occupera des papiers demain. » Jeanne ne réussit qu'à hocher la tête, elle s'appuya contre le jeune interne et le reste est assez flou, en moins d'une minute elle se retrouva sur son canapé. « Voilà. Je vous ai mis une bouteille d'eau à côté de vous, n'oubliez pas de vous hydrater. Bien je vais vous laisser, je suis désolé pour votre perte. » « Léa a raison, vous êtes sexy. »« Je vous demande pardon ? » Dans un dernier élan d'énergie, Jeanne attira le jeune interne vers elle et l'embrassa - mettez ça sur le compte du chagrin ou de l'alcool - sentant que le jeune docteur essayait de la repousser, Jeanne se fit plus fougueuse et toutes les bonnes intentions du docteur s'envolèrent avec ce second baiser.
Depuis cette nuit-là, ils ne se sont pas revus. Jeanne a préféré laisser ses grands-parents se charger des papiers administratifs, si bien que Jeanne n'a pas remis les pieds à l'hopital, évitant ainsi de revoir le jeune docteur. De son côté, le jeune homme est un peu perdu entre ses émotions et sa conscience professionnelle, alors ne pas avoir revu Jeanne depuis est dans un sens un soulagement - ça lui permet de garder la face vis à vis de ses collègues - mais d'un autre côté, il pense beaucoup à elle et aimerait une explication sur la situation. Elle aussi pense beaucoup à lui, mais elle se sent coupable d'éprouver ce genre d'émotions alors qu'elle vient de perdre sa mère.
Dernière édition par Dianna Agron le Mar 23 Juil - 7:50, édité 1 fois
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Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Mar 23 Juil - 7:43
Léa Nom
starring. lucy hale (négociable)
The perfection has a name...
△ ÂGE : 21-22 ans. △ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : à Toulouse en 1991. △ ORIGINES : au choix. △ NATIONALITÉ : Française. △ SITUATION AMOUREUSE : au choix, sachant qu'elle est du genre volage. △ EMPLOI/ÉTUDES : au choix, plutôt étudiante. △ CARACTÈRE : têtue - franche - fêtarde - spontanée - manque de tact - souriante. △ GROUPE : terre ou air.
Née à Toulouse, elle y a toujours vécu + c'est un petit bout de femme assez forte, elle ne baisse pas les bras facilement et ne se laisse pas atteindre par les critiques extérieures + qu'elle croit à l'amour ou non, ces récentes relations ne durent jamais plus d'une nuit + Pas très famille, Léa vit par elle-même depuis qu'elle a dix-huit ans, ses parents dont office de banque et c'est très bien comme ça + Même si elle est née dans une famille aisée, n'imaginez pas qu'elle fait partie de ces gosses de riches qui prennent tout le monde haut, au contraire Léa est du genre très sociable - peut-être même trop - + Pour elle le plus important pour le moment c'est de profiter de sa jeunesse, alors oui elle fait beaucoup la fête et sèche pas mal de cours mais elle le vit très bien .
Toi et moi, nous sommes liés...
extraits de ma fiche
Spoiler:
« Madame Leclerc, dîtes à votre fille que vous allez bien et qu'elle ne peut absolument pas manquer cette soirée. » Jeanne soupira, ce n'était pas qu'elle n'était pas le genre à aimer faire la fête mais la santé de sa mère faisait que Jeanne était toujours très réticente à l'idée de laisser sa mère seule pendant toute une soirée. « Bon d'accord...Maman je te laisse mon numéro et celui de Léa, n'hésite surtout pas ! » Jeanne savait que sa mère détestait le fait qu'elle la protège trop - que quelque part les rôles soient inversés - mais pour Jeanne, sa mère était beaucoup trop importante pour qu'elle la néglige. Mais d'un qutre côté, elle ne pouvait rien refuser à sa meilleure amie, Léa. Cette dernière était une fêtarde née et le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle dégotait toujours les meilleures soirées de Toulouse. Comme la plupart du temps, Jeanne se réveilla dans l'appartement de son amie Léa, et cette dernière n'était apparemment pas rentrée toute seule, ce qui fit sourire Jeanne. Un sourire qui s'effaça aussitôt lorsqu'elle prit conscience des trois appels manqués de sa mère et surtout de celui de l'hopital. « Merde, Léa, file-moi les clefs de ta voiture ! ».
« Au revoir, Madame Leclerc. J'étais contente de vous voir. » Jeanne avait rendu visite à sa mère en compagnie de Léa. Cela faisait à présent plus d'un mois que la mère de Jeanne était à l'hopital et si son état n'empirait pas, il ne s'améliorait pas non plus. « Hey dis-moi, c'est qui le canon qui t'a saluer lorsque l'on est arrivé ? » « Tu parles du Docteur Meyer ? C'est lui le nouvel interne en charge de ma mère, je t'en ai parlé. » « Ah oui, tu as oublié de préciser qu'il était incroyablement sexy, je comprends pourquoi tu passes autant de temps à l'hopital... » Le clin d'oeil - pleins de sous-entendus - de Léa était de trop, et Jeanne ne parvint pas à contenir sa rage. « Peut-être que je n'ai pas remarqué qu'il était sexy pour la simple et bonne raison qu'un hopital ce n'est pas un bar et je n'y vais pas pour draguer mais parce que ma mère est malade. On a pas les mêmes problèmes dans la vie, Léa, alors toi et tes hormones vous êtes priez de dégager ! » Léa se contenta d'hausser les épaules, et de tourner les talons d'un air penaud. Quelques jours plus tard, les deux amies étaient réconcilliés - leurs disputes ne duraient jamais longtemps et Jeanne savait que Léa n'avait pas mauvais fond et voulait simplement détendre l'atmosphère - elles s'étaient retrouvées dans un bar avec d'autres amies, et la nuit était déjà bien entamée. « N'empêche qu'il est vraiment sexy ! » « C'est bon, Léa, ne remets pas ça sur le tapis. Tiens tu ferais mieux d'aller voir le gars au bar qui te fixe depuis plus d'une heure...» C'est sans surprise que Jeanne voit Léa quitter la table en un quart de seconde..
Ces deux-là, elles se sont rencontrées à la maternelle et depuis elles ne se quittent plus. Bien qu'elles aient des caractères quelque peu différent - et que cela amène à des disputes parfois - elles se considèrent comme des soeurs et sont toujours là l'une pour l'autre. Depuis le décès de la mère de Jeanne - il y a environ une semaine - Léa reste souvent chez Jeanne, même si elle a toujours son appartement, elle passe le plus de temps possible auprès de son amie, surtout que celle-ci semble cacher quelque chose et comme Jeanne n'est pas du genre à se confier...
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Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Ven 2 Aoû - 2:11
Au choix, restez dans le classique, les parents des deux filles ne sont pas dans le délire original et fun - pour exemple les prénoms de Charlie sont Adelaide Charlotte, ce qui est plutôt classique -.
Elle a toujours été douée dans les études, elle aime ça et elle a des facilités. • Aujourd'hui, elle est en medecine et elle ne peut s'empêcher de se voir comme un ange - avec une certaine modestie malgré tout - • Très proche de sa mère, elle supporte mal le comportement de sa soeur vis à vis de leur mère - qui a le coeur fragile - • Elle aime faire la morale et prend les gens de haut - sans vraiment sans rendre compte - • C'est une fille très sérieuse, son credo un esprit sain dans un corps sain • Elle ne fume donc pas et ne boit pas une goutte d'alcool, elle évite aussi le café. • Elle aime le sport, en plus du tennis qu'elle pratique depuis un certain temps, elle court beaucoup • Elle ne tombe pas facilement amoureuse, mais contrairement à sa soeur, elle mesure l'importance de ce sentiment
Caractère
Donner la morale aux autres, c'est un peu son passe-temps favori • Elle est perfectionniste, ce qui peut s'avérer être son pire défaut comme sa meilleure qualité • San être hypocrite, elle garde beaucoup de choses pour elle • Si elle apparait comme une personne calme et posée, vexez-la et vous aurez à faire à elle • Elle est très attentionnée auprès des gens qu'elle aime, notamment sa mère
Votre lien:
Les deux jeunes blondes sont soeurs, avec environ six ans d'écart, elles n'ont jamais été véritablement proches mais du moins il y encore de ça quelques années, elles arrivaient à se tolérer, maintenant ce n'est plus vraiment le cas. « Tu as encore mis Maman dans un état pas possible ! Quand est-ce que tu vas grandir Charlotte ? » Charlie se contenta d'hausser les épaules sans même regarder sa soeur. Il était tard et elle n'avait vraiment pas envie de se disputer maintenant mais c'est sans compter Madame Vertue et Morale. « A ton âge, j'étais déjà en première année de medecine... » « Oui alors je t'arrête de suite, Miss Parfaite. Je ne suis pas toi et dieu merci ! » Tout ceci n'est qu'un exemple des nombreuses altercations que les deux jeunes femmes ont eu, mais il y a en a pleins d'autres...Comme les fois où Charlie flirte ouvertement avec les collègues ou encore même les petits-amis de sa soeur. Pour que les deux filles aient un jour une relation saine et fraternelle, cela semble peine perdue mais ne peuvent renier leur lien de sang.
Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Ven 2 Aoû - 6:40
⊹ We are too young to talk about forever.
While pigeon's pecked trains, sparks flew like planes, the rain showed us the rainbows in the oil stains and we all had new iPhones but no one had no one to call. Don't you cry for the lost smile for the living get what you need and give what you're given. Life's for the living so live it or you're better off dead
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Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Mar 13 Aoû - 7:09
« Maman, Maman, viens voir mon dessin de dinosaure. » Austin - alors âgé de cinq ans - débarqua du jardin en trombe dans la maison, il s'arrêta net lorsqu'il vit ses deux parents assis à l'opposé du salon avec chacun un homme en costume à leurs côtés. « Violetta, je croyais vous avoir dit de tenir les enfants à l'écart. » Violetta, la nourrice de cette époque se précipita dans le salon lorsqu'elle entendit la grosse voix de Monsieur Pietersen, elle attrapa Austin par la main et quitta la pièce tout en se confondant en excuses. Il ne le savait pas mais ce jour-là, ses parents préparaient leur divorce et surtout ils discutaient de la garde des enfants. Madame Pietersen avait connu son époux très jeune et elle n'avait jamais travaillée, ni même passer de diplômes, elle vivait aux crochets de son mari sans se soucier de rien et à ce moment-là, elle dû se rendre à l'évidence, jamais elle ne parviendrait à avoir la garde de ses enfants face à son riche ex-époux. C'est donc un soir comme tous les autres que L'ex Madame Pietersen vint border ses enfants tout en leur souhaitant bonne nuit, la seule différence c'est que cette soirée fut la dernière fois où Austin et sa soeur jumelle Scarlett virent leur mère.
« On va changer les noms. Tu as bien écrit au plume, hein ? » « J'en sais rien ! Puis laisse tomber, Scar, je m'en fiche pas mal de ce qu'il peut bien dire... » Austin et sa jumelle s'étaient arrêtés dans un parc avant de rentrer chez eux. La raison à cela, Austin avait encore une fois reçu une note bien inférieure aux attentes de son père et Scarlette savait que cela passerait mieux si c'était elle qui avait reçu cette note - une mauvaise de note de temps en temps n'entraine pas de punition alors que dans le cas d'Austin, il ne les compte même plus - « C'est bon, j'ai pu changer. Félicitations frérot, te voilà propriétaire d'un quinze sur vingt. » Il ne put s'empêcher de sourire devant l'attitude de sa soeur, sans elle il ne sais pas se qu'il ferait.
« C'est un repas de famille, j'aimerais que tu y sois ! Avant que tu ne dises quoi que ce soit, j'aimerais que tu réfléchisses à qui approvisionne ton compte.» « Si tu me prends par les sentiments, je serais là papa. » Austin ne se souvient pas d'avoir jamais eu une bonne relation avec son père, pour lui il représente surtout le porte-monnaie plus qu'une quelconque figure paternelle. Il lui a toujours mis le départ de la sa mère sur le dos et quelque part c'est un peu la faute de son père si sa mère est partie sans rien dire. Monsieur Pietersen est resté longtemps seul, mettant en avant sa carrière d'homme d'affaire, mais depuis quelques années, il s'est remis avec une femme et bien qu'Austin n'y prête pas grand intérêt, il semblerait que Monsieur Pietersen soit sur le point de se remarié. Et c'est pour cela qu'il convie tout le monde à un repas familial, afin que Scarlett et Austin fassent la connaissance de leur future belle-mère et par la même occasion de leur future demi-soeur.
« J'ai invité Sloane à se joindre à nous. » Austin avait invité quelques potes dans son appartement et c'est tout naturellement qu'il avait invité sa soeur - qu'il considère comme sa meilleure amie - mais là quand il l'a vit débarqué avec leur nouvelle demi-soeur, il regretta presque. « Scar, tu te fous de ma gueule ? Faut qu'on babysitte en plus ? » Rien à foutre de dire ça devant la principale intéressée, Austin était vraiment énervé de voir débarquer cette fille dans son appart. « Pour ton info Austin, je n'ai que trois ans de moins que toi. Alors ne me traite pas comme une enfant veux-tu !» C'est sur ces bonnes paroles qu'il vit sa demi-soeur se servir une bière et partir faire connaissance avec ses potes. Il resta con à regarder sa jumelle. « Scar, tu fais chier... » « Non c'est toi qui fait chier, Austin ! Tu peux en vouloir à papa autant que tu veux mais Sloane, elle est dans la même situation que nous, alors sois cool un peu... »
« Tu m'as demandé d'être cool. » « Mais pas de coucher avec elle, c'est notre demi-soeur ! En plus je suis sûre que l'as fait exprès. » « Oh c'est bon, ce n'est pas comme si papa allait véritablement refaire sa vie avec miss silicone. » « Elle est enceinte, idiot ! Ils vont vraiment se marier alors tu ferais mieux de mettre la situation au claire avec Sloane. » Si Austin avait confirmé à sa jumelle qu'il allait mettre les choses aux claires avec Sloane, les choses ne se passèrent pas comme il l'avait prévu...« Ta mère est enceinte, on va vraiment être une famille. » « Alors quoi ? On s'arrête là et on leur souhaite d'être heureux ?! Ce n'est pas ce que je souhaite pour ma mère et je ne pense pas que ce soit ce que tu souhaites pour ton père... »
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Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Mar 20 Aoû - 6:03
« Dis Maman, tu m'écoutes ?! » Tara est fille unique et en étant enfant, elle avait ce côté capricieux, l'envie d'être le centre d'intention et d'avoir tout ce qu'elle désirait, son père était très réceptif aux besoins de sa fille, sa mère beaucoup moins. « Papa, il a dit que tu m'apprendrais à faire la potion pour avoir les cheveux rose comme une princesse. » Sa mère sentit enfin de ses pensées et se tourna vers sa fille, le regard incrédule. Elle était habituée aux demandes incongrues de sa fille mais le fait que son mari marche dans la combine aussi la laissait toujours perplexe. « eh bien ton père est un idiot, et je te préviens Tara ne rentre jamais à la maison avec les cheveux roses ! » Boudeuse, Tara tourna les talons tout en pensant qu'elle pourrait bien aller à la bibliothèque magique avec son père. « N'y pense même pas, j'ai des amis qui travaillent à la bibliothèque ma chérie, en aucun cas ton père ou toi n'aurez accès aux livres de potions... » Argh l'empathie de sa mère, Tara ne pouvait imaginer quelque chose qu'elle détestait plus que ça. A cette époque, Tara n'était qu'une jeune pré-ado et ses caprices ont vite cessés en grandissant. Grâce à ses missions en tant qu'apprenti cupidon aux côtés de son père, elle a gagné en maturité et l'enfant capricieuse et égoiste s'est étonnamment transformé en une jeune femme généreuse et responsable. « C'est un tatouage, je me fiche de ce que cela veut dire, elle va aller le retirer immédiatemment ! » « La signification de ce tatouage prouve qu'elle prend son rôle de cupidon au sérieux. » « Bien évidemment, toi tout ce que ta fille fait est formidable ! » Les disputes de ce genre entres ses parents, Tara les avaient toujours connues. Ils n'avaient pas la même notion de l'éducation et malgré cela Tara savait qu'elle était très chanceuse d'avoir deux parents aussi impliqués dans sa vie, même si sa mère était parfois bien trop sévère selon elle. Mais Tara ne connaissait pas ce qui hantait sa mère...
« Tara, j'aimerais te parler...» Tara se trouvait aux funérailles de sa mère, cette dernière avait été tuée quelques jours plus tôt dans un accident de voiture - enfin ceci c'est la version que son père et beaucoup de membres de sa famille lui ont raconté, et elle n'avait aucune raison de douter de leur parole - Mais le ton sérieux de sa tante Lisbeth lui fit peur, elle la suivit donc à l'arrière de l'église. « Tu as une soeur, enfin plus exactement une demi-soeur. Juste lis ça et quoi qu'il arrive ne juge pas ta mère, elle t'aimait du plus profond de son être. » Pas le temps de discuter que sa tante avait déjà disparue, Tara rangea la lettre dans son sac à main lorsqu'elle entendit la voix de son père l'appeller, elle n'avait jamais rien cacher à son paternel mais aujourd'hui - sans savoir pourquoi - elle savait que cette lettre devait rester secrète. Ce n'est que plus tard dans la nuit que Tara pu ouvrir cette lettre, l'écriture fine de sa mère lui arracha quelques larmes, mais elle se ressaisit et commença sa lecture. Dans la lettre, elle apprenait que sa mère à ses débuts de sorcière avait été maléfique, surtout par rebellion et elle le regrettait mais elle avait été maléfique suffisamment longtemps pour avoir des choses à se reprocher et surtout la naissance de son premier enfant - une fille - qu'elle avait eu avec un quelconque démon, à l'époque elle ne comptait pas ses partenaires sexuels. La naissance de cet enfant fut un déclic pour elle et dès lors elle décida de s'enfuir avec le bébe et de vivre une vie plus paisible. Son plan n'a pas fonctionné, elle s'est faite attrapée et pour sauver sa vie, elle a accepté un deal affreux - qui la hante depuis - celui de laisser son enfant aux enfers et de ne jamais essayer de la contacter en échange de la vie paisible dont elle rêve. Tara eu du mal à imaginer sa mère maléfique, elle qui prônait le bien et qui faisait tout pour que Tara soit une bonne sorcière, mais le plus dur à avaler c'était definitivement cette histoire de demi-soeur démoniaque. Plus bas dans la lettre, sa mère expliquait qu'elle n'avait pas tenu le deal, et qu'elle était entrée en contact avec sa première fille, et dans une écriture plus tremblante, sa mère lui disait de prendre garde et de rester éloignée de L., le reste du prénom avait été brûlé. Cette nuit-là, Tara ne parvint pas à dormir, la mort de sa mère dans un accident de voiture n'avait plus aucun sens à présent, et elle se rendit compte du mensonge de son père.
Les annés ont passées et Tara a toujours gardé la lettre secrète, elle n'en jamais soufflé un mot à son père. Elle a fait semblant de croire à l'accident de voiture et quant à sa demi-soeur, si elle se présente sur son chemin, elle sera ravie de venger sa mère. Autrement elle a réussit à reprendre une vie normale - même si le manque de sa mère est tous les jours présents - elle travaille en tant qu'agent immobilier tout en continuant ses missions de cupidon.« Si la demoiselle est décédée, alors ce n'est plus ton problème Tara. Il a perdu son âme soeur, ta mission est finie. » « Il est paumé, il ne contrôle pas ses pouvoirs, il est tout seul...Si je ne l'aide pas, il devient une proie facile pour les démons. » « Ta mission était de le mettre dans les bras de son âme-soeur, elle est morte, tu ne peux plus rien pour lui. Le reste c'est le boulot des êtres de lumières. » « Il a besoin d'amour, d'affection, de quelqu'un qui soit là pour lui tous les jours. Pas d'un ange qui apparait seulement en cas de problème !» « Alors quoi ? » « Je vais l'épauler jusqu'à ce que je détecte une nouvelle âme-soeur pour lui. » « Ne fais pas ça, tu vas t'en mordre les doigts...» Mais Tara était partie, lorsqu'elle avait une idée en tête, il était difficile de l'en dissuader. Elias était un jeune sorcier avec un passé familial assez tortueux et c'est de là que venait son incapacité à maitriser ses pouvoirs, la rencontre de son âme-soeur aurait dû être l'élément déclencheur à sa nouvelle vie, lui permettant de devenir un sorcier bénéfique au service du bien. Pour l'heure c'est un sorcier perdu, vacillant entre le bien et le mal et d'avanatage le mal d'ailleurs ce qui inquiète beaucoup Tara qui - même si elle ne l'avouera pas - s'est attachée au jeune homme.
« On se fait un ciné, ce soir ?» « Oh désolé, ce soir il y a cette fête à l'entreprise pour l'arrivée des nouveaux partenaires...» « Non, pas de soucis. Je pensais que tu n'aimais pas les soirées boulot ? » Le léger rougissement qui apparu sur les joues d'Elias n'échappa pas au regard affûté de Tara. « Tu sais, je t'ai parlé de ma nouvelle collègue ? Celle qui est arrivée la semaine dernière, eh bien elle m'a invitée. » N'importe quel cupidon aurait été ravi d'apprendre qu'une amante potentielle était entrée dans la vie de son protégé mais pas Tara. « Je pourrais la rencontrer ? Je veux dire, j'attends à ton appart et tu n'as qu'à me présenter comme ta coloc.» « C'est à dire que c'est le premier soir, je n'avais pas l'intention de l'inviter à l'appart' »« Je te parle avant la soirée, crétin ! Invite-là un boire un verre, puis tu sais que j'ai ce petit truc pour dire si ça va marcher ou pas...» Tara fit un petit clin d'oeil à son ami, elle savait qu'il n'allait pas résisté a cette bouille boudeuse, c'était la façon dont elle piégeait son père lorsqu'elle était enfant.« Très bien, d'accord tu as gagné. Même si tes pseudos pouvoirs de cupidon sont inutiles, tu le sais ça ? » Tara eu un petit sourire, Elias ignorait tout de la situation de Tara, pour lui elle n'était qu'une amie normale qu'il avait rencontré sur le chemin du travail et qu'il avait aidé avec le pneu de son vélo. Jamais il n'a imaginé qu'elle puisse être une sorcière comme lui et encore plus à moitié cupidon. Tara était en train de se ronger les ongles tout en attendant l'arrivée de la fameuse collègue, la plan était qu'elle devait partir aussitôt après que la demoiselle soit arrivée. dring dring Elias ouvrit la porte sur une jolie jeune femme et le regard de celle-ci se figea sur Tara, chose qui prit Elias un peu au dépourvu et il s'emmêla dans ses explications.« Oh c'est...c'est ma soeur, elle allait s'en aller...Je...Je vais aller chercher les boissons dans le cuisine. » Et Elias tourna rapidement les talons, son stress était assez visible. Alors que Tara jaugeait la jeune femme afin de savoir si elle pouvait correspondre à Elias, elle fut interloquée par les murmures de la jeune femme.« Hum, ta soeur...et moi je crois plutôt que c'est la mienne.» La jeune femme continuait à fixer Tara avec un grand sourire comme si elle n'avait rien dit, si bien que Tara cru qu'elle avait rêvée. « Je ne me suis pas présentée, je suis Leah, je travaille avec Elias. » Leah! Tara resta figée sur place. Elias revint dans le salon avec deux coupes de champagne. « Tara, tu n'était pas attendu quelque part ?! »« Hein, quoi ? Ah si, tu as raison. Passez une bonne soirée, Elias, tu m'appelles demain...» pour vérifier que tu es toujours en vie. Tara força un sourire et quitta l'appartement à contre-coeur.
Plus de dix minutes que Tara frappait à la porte en trombe. Finalement Elias ouvrit la porte, le visage encore endormis. « Bon sang Elias, je t'ai laissé plein de messages, t'aurais pu répondre, je m'inquiétais. » « Il est seulement neuf heures et demi, la soirée s'est finie tard. » « Où est Leah ?» « Probablement dans son propre lit en train de profiter de sa grasse matinée. Rassurée ?»« Oui. Enfin non, je veux dire tu fais ce que tu veux...» Elias laissa échapper un petit rire, et servir deux cafés avant de revenir au salon où Tara s'était installée, soulagée. « Cependant, je dois avouer que j'ai passé une excellente soirée, ça faisait longtemps. On a quelque chose en commun qui fait qu'on s'est sentis lié de suite. » Tara manqua de s'étouffer avec sa gorgée de café. « En commun, comment ça ?»« C'est compliqué et tu ne serais pas en mesure de comprendre...Mais ça fait du bien de pouvoir parler à quelqu'un comme soi. » Une profonde rage emplit Tara et elle se leva brusquement, renversant ainsi son café sur le sol. « Putain, Tara le tapis...»« Je suis comme toi, moi aussi. Regarde, moi aussi je suis un être magique.» Sans savoir qu'elle faisait fausse route, Tara dévoila ses pouvoirs à Elias, en se concentrant suffisamment elle rendit tout son bras gauche invisible.« Qu'est-ce que...Tara, ton bras. Merde, tu es une sorcière ?» « Plus exactement mi-sorcière mi-cupidon.»« Cupidon ? Merde, et moi qui croyais que t'étais juste haut perché avec tes histoires d'âmes-soeur...Attends, tu sais pour moi ? Tout ce temps tu savais et tu n'as rien dit ? Tu sais combien j'aurais aimé pouvoir partager ça avec quelqu'un et tu n'as rien dit !» Elias s'était levé à son tour et il semblait être le plus énervé des deux. « Dis-moi que cette histoire de vélo, que notre rencontre n'était pas préméditée. » « Elias, je suis désolé.»Les larmes étaient présentes dans les yeux des deux amis.« Vas-t'en !»« Je comprends, mais s'il te plait quoi que tu fasses, méfie-toi de Leah.» Elias regarda Tara quitter son appartement. Et dire que le point commun dont il parlait était seulement le fait que lui et Leah avaient grandis sans leurs parents.
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Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Ven 30 Aoû - 3:36
« Je ne peux pas partir, il y a la fête de Jillian vendredi soir ! » Comme à beaucoup de vacances scolaires, la famille Fitzgard partait rendre visite aux parents madame - le petit problème c'est que les grands-parents de Poppy vivait dans un village retiré du Nevada et pour la jeune citadine qu'elle était, c'était assez difficile de passer une semaine entière loin de toute civilisation - entendez par là, loin d'un service téléphonique convenable - « Et connaissant Jillian, je suis sûre qu'il y aura d'autres soirées du genre... » « Oh maman, toi aussi tu as eu quinze ans, si je loupe cette fête, je peux dire adieu à ma vie sociale ! Puis franchement Galveston ? J'ai passé l'âge de passer mes vacances chez grand-mère. » Poppy suppliait sa mère du regard, bien évidemment la fête de Jillian n'était qu'une excuse - quoiqu'elle avait vraiment envie d'y aller - « Je suis sûre que si grand-mère habitait à Miami, ça n'aurait pas été la même histoire... » « La ferme, Tortue. » Sa soeur marquait un point, mais hors de question de l'avouer devant sa mère. Les deux soeurs n'avaient même pas un an d'écart, pourtant elles étaient très différentes. Poppy était une amoureuse de la ville, des technologies et du shopping alors que sa soeur était du genre beaucoup plus naturelle, à aimer lire, voyager et être au contact des autres. Bref l'une adorait les vacances à Galveston et l'autre non. « Bon d'accord, mais sache que tu vas faire beaucoup de peine à ta grand-mère. » Malheureusement la culpabilité n'était pas quelque chose qui fonctionnait chez Poppy, alors c'est sans retenue qu'elle se jeta au cou de sa mère en poussant un énorme cri de joie. Il était facile de convaincre madame Fitzgard, et Poppy le savait très bien. Sa mère avait grandit à Galveston et dès qu'elle avait eu dix-huit ans, elle était partis étudier à San Diego. Et même si elle a vécu une enfance heureuse là-bas, Galveston ne lui a jamais manqué plus que ça, la vie à la ville lui convient d'avantage alors elle ne peut que comprendre sa fille.
« Merde Pop', qu'est-ce que c'est que tous ses sacs ? » « J'ai fais du shopping. » Poppy était allongée sur le canapé, le regard dans le vide, lorsque sa soeur débarqua dans l'appartement. Les deux soeurs partageaient un appartement en centre-ville - payé par leur père - la colocation ne passait globalement bien même si les affaires de Poppy empiétaient beaucoup sur l'espace de vie commune - comme ce soir par exemple - « Ok, la dernière fois que j'ai vérifié, le salaire d'une institutrice ne permettait pas de faire de folles virées shopping... » Poppy pouvait être impulsive avec son argent, mais pas aujourd'hui...« J'ai utilisé la carte de crédit de Paul. » « Il est au courant ? » « Il m'a trompé. » Poppy possédait un double des clef de son compagnon - qu'elle avait fait faire sans demander la permission à son copain, après plus d'un an de relation, elle trouvait cela tout à fait normal - et elle avait décidé de passer faire coucou à son chéri à l'improviste. flashback « Bébé, je crois que la femme de ménage est là. » Lorsque Poppy avait poussé la porte de l'appartement de son copain, elle tomba face à face avec une grande blonde vêtue uniquement d'une serviette. Ça déjà ça ne plut pas à Poppy mais le fait que cette dinde la prenne pour la femme de ménage, ce fut de trop et poppy lui envoya son sac à main en pleine figure, juste au moment où Paul sortait de la salle de bains. « Merde. » Poppa quitta l'appartement sans attendre d'explications, elle démarra sa voiture en trombe et en route, elle réalisa qu'elle avait toujours le portefeuille de Paul dans son sac - puisque cet idiot l'avait oublié chez elle, la veille au soir - et sans aucune hésitation, elle conduit jusqu'au centre commercial. end flashback Poppy se logea dans les bras de sa soeur en pleurs.
« Surprise ! » « Poppy, pourquoi est-ce que tu es entourée de valises ? » En effet, Poppy était encerclée de quatre valises - toutes lui appartenant bien évidemment - « Je pars avec toi à Galveston. » Surprise, incrédulité, peur...plusieurs émotions passèrent sur le visage de sa soeur, mais rien n'entacha la bonne humeur de Poppy. Elle avait pris la décision de partir avec sa soeur, premièrement pour s'éloigner de son ex et prendre du recul, mais aussi quitter son confort devrait lui faire le plus grand bien, et elle voulait être avec sa soeur. « Ecoute, je comprends que tu ai besoin de te changer les idées, mais tu as toujours détester Galveston. » « Détester non, c'est juste que la civilisation me manque rapidement mais je suis prête à faire des efforts. » « Je n'y pars pas en vacances, je vais y être pour au moins un an. » « Je sais, je pourrais toujours revenir ici si ça ne me plait pas... » Le regard de chien battu, Poppy le maitrisait très bien et même si généralement ce don ne fonctionnait pas avec sa soeur, cette fois-ci Poppy pouvait sentir la faille. « D'accord, tu as l'intention d'enseigner là-bas ? » « Pourquoi pas, je serais ravie de partager mes connaissances avec les enfants nécessiteux. » « Dis t'es au courant que ce n'est tiers-monde non plus. » Une fois sa soeur convaincue, Poppy se chargea des démarches administratives afin de pouvoir enseigner à Galveston. Ses démarches prirent quelques semaines et Poppy ne rejoingnit sa soeur que quelques mois plus tard.
Plusieurs à présent que Poppy et sa soeur sont installées à Galveston, malgré beaucoup d'efforts on ne peut pas dire que la vie rurale soit faite pour Poppy - mais elle s'est elle-même fait la promesse de rester au minimum six mois donc elle tient le coup - Et puis son boulot en école primaire lui apporte beaucoup plus d'épanouissement que lorsqu'elle travaillait à San Diego, pour autant on peut simplement voir qu'elle n'est pas une fille de la campagne. « Camping ? Je ne suis pas aminatrice de colo. » L'équipe pédagogique de l'école primaire de Galveston, c'était réunie un midi pour discuter d'une sortie scolaire. « C'est pour permettre aux élèves de se familiariser avec la faune et la flore qui les entourent... » « Oui d'accord, mais je ne vois pas en quoi ça me concerne ? Je ne suis pas d'ici, je ne vois pas comment je pourrais enseigner la faune et la flore aux élèves. » « Tous nos professeurs sont amenés à participer à cette expédition, ne serait-ce que pour un rôle d'encadrement.» Poppy poussa un long soupir, le seul contact avec la nature qu'elle avait à San Diego, c'était le parc naturel et rien d'autres...« Ok mais quand vous parlez de camping, c'est pour les enfants, les professeurs sont logés dans un hôtel, non ? » Le fait que ses collègues rigolent ne mis pas le puce à l'oreille à Poppy, ce n'est qu'aux paroles du directeur que Poppy comprit le cauchemar qui l'attendait. « Je suis sûr que votre grand-mère a une tente à vous prêter, Miss Fitzgard.»
Le grand jour arriva, et après un voyage d'une heure dans le bus, le petit groupe arriva à l'entrée du parc national. C'est ici que commencait le long périple de deux jours, deux groupes furent formés, Poppy se retrouva à encadrer les élèves les plus grands avec deux de ses collègues - la vieille Bridget qui n'avait aucun goût vestimentaire et Silas, le seul jeune instituteur avec elle - « Je pense que tu aurais dû prévoir des chaussures de randonnée.» Il est vrai que Poppy n'avait prévu qu'une seule paire de chaussure, une paire de baskets compensées - les seules chaussures sportwear qu'elle possédait - « Pour qu'on ai l'impression que je chausse du 48 ? Non merci.» Son collègue s'esclaffa. « Hâte de voir comment tu vas survivre à ces deux jours, Poppy.» Il croyait pas si bien dire, le groupe de Poppy arriva au point de rencontre deux heures après le premier groupe et tout ça juste par la faute de la rouquine. Au bout de même pas une heure de marche, elle collectionnait les ampoules sur les deux pieds, sans parler des piqûres d'insecte, bref elle était à bout de nerfs, en sanglots et les élèves prenaient un malin plaisir à voir leur institutrice dans cet état. Elle s'était adossée contre un arbre, il lui avait quelques minutes pour se calmer, finalement Silas vint à sa rencontre avec la trousse à pharmacie.« Alors ces pieds ?» Mais Poppy avait toujours ses chaussures, bien trop effrayée par la vue des ses pieds déformés par les ampoules. Silas lui retira ses chaussures et Poppy cacha son visage avec ses mains.« Alors ? » « Je pense que c'est l'amputation obligatoire.» Elle retira ses mains brusquement afin de voir l'ampleur des dégâts - bien que ses pieds ne soient que légèrement boursoufflés, Poppy cru aux paroles de son collègue -« Oh mon dieu, mes petits pieds, pardonnez-moi.» Elle éclata une nouvelle fois en sanglots, laissant Silas sous le choc. « Poppy, je plaisante, tu sais. Ce sont juste des ampoules, dans deux jours tu n'as plus rien...» Réalisant la blague, Poppy lança un regard noir à Silas. « Autre problème, on a monté ta tente et la fermeture d'entrée ne ferme pas et il n'y a de moustiquaire, alors Bridget est d'accord pour partager sa tente avec toi.» « Hord de question, je peux sentir son odeur de transpiration d'ici et je suis sûre qu'elle ronfle en plus.» « Tu préfères te faire dévorer par les animaux durant la nuit ? Je plaisante, l'endroit est sans danger.» Décidement l'humour du coin ne faisait pas du tout rire la jeune Poppy. « Très bien, je dors avec toi. Si je me fais attaquée, tu es celui qui a le plus de chance de pouvoir me protéger. » Elle ne lui laissa pas le choix, elle se dirigea - non sans mal - vers la tente du jeune homme. Probablement pas la meilleure idée qu'elle est eu, à chaque bruit suspect - le vent en autre - Poppy se rapprochait de Silas pour finir au lever du jour carrément dans ses bras - chose que les élèves ont tous vus - si déjà passer la nuit ensemble installa une ambiguité entre les deux collègues, les rumeurs qui allaient se faire de plus en plus présentes au fil des jours n'allaient rien arranger.
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Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Lun 2 Sep - 8:17
do not allow yourself to be full of hate. hate is a heavy thing. it weighs us down, chaining us in a dark place. if you want to be free of this heavy darkness you feel, focus on your love. to love is to be free.
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Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Jeu 5 Sep - 8:34
what would i give if i could live outta these waters ? what would i pay to spend a day holding your hand ? i'd give my life, i'd sell my soul. i won't get free until i can be part of your world.
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Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Lun 9 Sep - 4:23
do not allow yourself to be full of hate. hate is a heavy thing. it weighs us down, chaining us in a dark place. if you want to be free of this heavy darkness you feel, focus on your love. to love is to be free.
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Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Lun 9 Sep - 4:33
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Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Ven 13 Sep - 2:06
~ KEVIN JOSEPH, ZEGERS ~
CREDITS: @weheartit
⊱ everything about you NOM(S): Zegers ~ PRÉNOM(S) Kevin Joseph ~ AGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE: 28 ans, né le 19 septembre 1984 à Woodstock ( Canada ) ~ NATIONALITÉ ET ORIGINES: Canadien, origines Hollandaises ~ LIEU DE RÉSIDENCE ACTUEL Los Angeles ~ PROFESSION(S): Acteur et Mannequin ~ STATUT CIVIL: Célibataire - plus ou moins - ~ TRAITS DE CARACTÈRES: écrire ici
∞ you and me
ft Lucy Hale Lucy a rencontré Kevin il y a plusieurs mois par le biais de Jamie, ils se sont de suite bien entendus. Après vivre à Los Angeles, ça veut dire participer à de nombreuses soirées de charité ou autre cérémonies et inaugurations, ce qui a permis aux deux acteurs de se revoir à plusieurs reprises, aidant ainsi à faire plus ample connaissance et ils ont fini par garder contact, à se voir de temps en temps comme le feraient des potes sauf que voilà une forte attirance et aussi une ambiguité existait entre les deux, alors il n'a pas fallut longtemps avant que les deux jeunes gens tombent dans les bras l'un de l'autre. C'est encore récent et ils préfèrent garder ça secret ou du moins très discret, et surtout aux yeux de Jamie, ce dernier étant très protecteur envers Lucy qu'il considère comme sa petite soeur et surtout très protecteur vis à vis des garçons qui peuvent lui tourner autour, Lucy et Kevin ont un peu peur de la réaction de leur ami. Ils font donc profil bas mais ce n'est pas sûr que Jamie soit dupe très longtemps...
∞ my terms L'AVATAR: Le parfait Kevin Zegers. ~ QUALITÉ DU RP DEMANDÉE: suffisamment bon, court ou long peu importe, au minimum une dizaine de lignes quand même et faire attention aux fautes. ~ PRÉSENCE SOUHAITÉE: au maximum, on a tous une vie mais on préfère éviter les membres fantômes quand même. ~ COMMENT SOUHAITEZ-VOUS QUE LE LIEN ÉVOLUE ? Pour ce qui est de la relation avec Lucy, j'imagine qu'ils vont finir par se faire griller d'une façon ou d'une autre, mais après l'évolution du lien se fait surtout dans le rp. ~ UN DERNIER MOT POUR CONVAINCRE: Kevin est doublement attendu, ce qui veut dire double câlin et tout...Puis en plus je suis sûr qu'il plaira encore à plein d'autres membres...
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Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Jeu 19 Sep - 3:16
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« Ezra, tu étais où ? J'étais morte d'inquiétude !» Quinze ans, c'est l'âge qu'avait Ezra, il vivait à Toronto avec sa mère - son père avait quitté le foyer familial lorsqu'Ezra avait trois ans, la raison ? Il était tombé amoureux d'une autre femme - La mère d'Ezra n'avait pas souhaité que son fils garde contact avec son salaud de père et en grandissant Ezra fit payer l'absence de père à sa mère. « Malheureusement tu me sembles bien vivante. » Leur relation était des plus houleuses, sa mère tentait de donner des limites au maximum mais pour cet adolescent de quinze ans, les règles données par sa mère n'avaient aucune valeur. Si bien qu'il séchait très souvent le lycée pour traîner avec des potes plus âgés, il faisait les quatre cent coups, détériorer les lieux publiques s'était en quelques sortes son passe-temps, ça et pleins d'autres choses, comme les femmes...Même à quinze ans, il avait déjà un certain charme et une gueule d'ange qui faisait craquer les filles un peu plus âgées, il les collectionnait et il est était fier mais sous ses airs de Don Juan, il est aussi tombé amoureux. Elle faisait de la bande de potes, elle était un peu plus vieille qu'Ezra et aussi légèrement instable psychologiquement, elle vivait dans un squat et travaillait comme danseuse dans une boîte craignos de la ville, elle n'avait pas de famille et ne parlait que de son désir d'enfant et l'envie de s'en sortir. Elle poussait d'ailleurs Ezra a aller en cours et à étudier afin d'avoir un bon salaire plus tard, ils parlaient d'avenir ensemble et même s'il n'avait que quinze ans, cela sonnait comme la vérité pour lui. Il s'intéressa d'avantage à ses études, tout en continuant ses petits délits avec ses amis de temps à autre, il découchait souvent aussi - afin de rester avec celle qui aimait - et savoir son fils dans un squat n'enchantait pas trop la mère d'Ezra mais comme elle n'aimait pas cette jeune fille, il était hors de question qu'elle vienne dormir à la maison. Puis un beau jour, il arriva au squat et elle n'était plus là, elle avait laissé une vulgaire note, expliquant qu'il méritait mieux et qu'il devait prendre ses études à coeur et arrêter de fréquenter les petits voyous de Toronto. Il a longtemps été en colère puis triste après mais il lui a obéis, avec sa mère ils ont déménagés au états-unis et Ezra a commencé une toute nouvelle vie, où il a appris à pardonner à sa mère. Il n'a jamais oublié son premier amour, et il sait qu'il lui doit sa réussite mais ce qu'il ignore c'est qu'il y avait une autre raison à son départ...
Ezra était installé à Fairview depuis plus de deux ans avec sa femme. Ils menaient une vie des plus paisibles, chacun ayant des revenus mensuels plus que correct, ils renvoyaient une image du couple parfait. « Ma copine Vanessa vient d'apprendre qu'elle était enceinte... » Ezra qui était sur son ordinateur - à bosser comme il le faisait si régulièrement - ne leva même pas son regard de l'écran. « On remet le sujet épineux sur la table ? » Sa femme, Emma, avait toujours exprimé son envie d'être mère, mais comme elle était une femme réfléchie elle avait toujours voulu attendre d'avoir un boulot fixe avant même d'aborder le sujet avec Ezra. Elle avait été promue, il y a de ça quelques mois et depuis elle ne cessait de mettre le sujet en avant. « Je ne comprends pas que tu sois autant réticent, on gagne tous les deux bien notre vie, on a acheté cette maison, on est marié depuis quatre ans, ça ne te semble pas être la suite logique ? » Ezra referma brusquement son ordinateur et se leva pour prendre sa femme dans ses bras. « Si tu as raison, mais je ne suis pas prêt, pas encore... » Il savait comment désamorçer la bombe, quelques bisous, un air innocent et sa femme laissait tomber le sujet jusqu'au jour d'après...La vérité, c'est qu'Ezra n'avait jamais eu l'envie d'être père, il avait trop peur d'échouer, de fuir comme l'avait fait son propre père. Avoir un enfant était un engagement trop fort, même s'il aimait profondément sa femme, il ne se sentait pas capable de sauter ce pas. C'était peut-être la seule discorde au sein du couple, le problème était qu'Ezra était du genre à vouloir contrôler son image, donner l'air d'un homme marié heureux avec un bon boulot et pour qui tout se passe merveilleusement bien, le genre de mec à vouloir garder ses problèmes de couple pour lui, alors qu'Emma est le genre de jeune femme spontanée qui parle librement de tout avec tout le monde. Oui, ils ont beau s'aimer, ils sont rarement sur la même longueur d'onde.
Ezra est très dévoué dans son travail, c'est d'ailleurs l'un des agents immobilier les plus appréciés dans la région et il en est fier. C'est un matin comme les autres pour Ezra, il arriva à l'agence avec des cafés pour tout le monde et c'est là qu'il remarque la présence d'une jeune fille dans son bureau, de mémoire, il n'avait pas de rendez-vous aussi tôt dans la matinée. Intrigué, il rentra dans son bureau armé de son plus beau sourire. « Bonjour Mademoiselle, on avait rendez-vous ? » Il s'installa à son bureau tout en vérifiant son agenda. « Non. J'ai eu vos coordonnées suite au suicide de ma mère. » Gros silence dans le bureau, le genre de silence très pesant. « Vous n'êtes pas ici pour un logement, je me trompe ? » « Je suis la fille de Donna Mercer... » De surprise, Ezra laissa tomber le stylo qu'il tenait dans sa main droite. Il n'avait plus entendu ce nom depuis son adolescence, Donna, c'était son premier amour, la seule fille qui l'avait souffrir, celle qu'il avait essayé de recontacter quelques années auparavant...Il était perdu dans ses pensées lorsqu'il entendit les dernières paroles de la jeune fille « Et aussi la vôtre, d'après les lettres de ma mère. » Elle lui tendit les lettres en question. Ezra observa rapidement les lettres, toujours abasourdi par ce qu'il venait d'entendre...« Je suis désolé mais ces lettres ne prouvent rien, de ce que je me souviens, votre mère n'avait pas toute sa tête ! Sans vouloir vous offenser. » « Non vous avez raison, elle était psychologiquement très fragile, j'ai principalement été élevée par la voisine...Ce serait possible d'avoir un verre d'eau, s'il vous plait ? Je partirais tout de suite après. » Ezra ne pouvait détacher son regard de la jeune fille, elle ressemblait vraiment à Donna et au vu de son âge, elle pourrait tout à fait être sa fille mais il ne voulait pas y croire, il chassa rapidement ces idées folles et quitta son bureau pour aller chercher un verre d'eau. Il était loin de se douter que c'était une ruse de la part de la jeune fille afin d'avoir la possibilité de récupérer une mèche de cheveu sur sa veste. Il revint avec le verre d'eau et la jeune fille partis juste après avoir avaler l'eau d'un trait. Quelques jours plus tard alors qu'il était en train de regarder un film avec son épouse, il entendit sonner à la porte. Lorsqu'il ouvrit, il tomba nez-à-nez avec la jeune demoiselle qu'il avait rencontré en début de semaine, il resta figé à sa vue et surtout à la vue du papier officiel qu'elle tenait dans sa main. « Je crois que c'est la preuve qui vous manquait ! » Sur le papier, des résultats de tests ADN, affirmant qu'elle était bien sa fille. Il comprit rapidement le manège du verre d'eau mais face à ses résultats, il était sans voix. « Qui est-ce ? » Sa femme apparue derrière lui, légèrement inquiète face au visage livide d'Ezra, elle posa son regard sur la jeune fille. « Enchantée, je suis la fille de votre mari ! » L'arrivée de cette jeune fille dans leur vie, ressemblait fort à une bombe, une bombe que cette fois-ci, Ezra allait avoir du mal à désamorçer.
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Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Jeu 19 Sep - 9:45
il est fils unique, a grandit uniquement avec sa mère qui empêchait son ex-mari d'avoir contact avec son fils, donc Ezra a grandit sans véritablement connaître son père + ll n'a pardonné à sa mère qu'à ses dix-sept ans, lorsqu'ils ont quittés le Canada pour les États-Unis, puisqu'il se retrouvait ainsi sans autres proches que sa mère + il a besoin de plaire, même s'il est fidèle à sa femme, il aime charmer et séduire et il s'en sert beaucoup dans son travail + il est marié depuis quatre ans, et même s'il n'est pas très famille et traditions, il est celui qui a fait la démarche et il ne le regrette absolument pas + pour ce qui est des enfants, c'est une toute autre histoire, comme il a grandit sans père et en étant en froid avec sa mère, il n'a pas trop la notion de la famille et il ne souhaite pas prendre le risque de faire vivre ça à ses enfants alors il préfère ne pas en avoir du tout + cependant il a une fille, qu'il a eu avec son premier amour lorsqu'il avait quinze ans, mais elle la quitté du jour au lendemain et il n'a jamais rien su de l'existence de sa fille jusqu'à récemment + c'est un garçon très soucieux de son image, aussi bien physiquement, il attacha une grande importance à son look, que moralement, il n'aimerait pas qu'une vilaine rumeur court sur lui + c'est un sportif, il court régulièrement et pratique le tennis et le golf quelques week-ends par ci par là + il reste en contact avec sa mère, principalement par téléphone, il la voit deux à trois fois par an et c'est largement suffisant + s'il est du genre à vouloir tout contrôler, il se laisser aller lorsqu'il est en présent de ses vrais amis et de sa femme, c'est uniquement dans ces moments-là que vous pouvez voir le vrai Ezra + il ne fume pas et boit que très peu d'alcool, uniquement en société, le buveur social rien de plus, encore une fois plus dans l'optique de contrôler son image que par goût
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Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Mer 25 Sep - 3:32
nom, prénom
"tout le monde veut une solution magique à tous leurs problèmes, mais personne ne veut croire en la magie"
principaux traits de caractère †rationnelle, franche, indépendante, susceptible, obstinée dans les grandes lignes †elle vient d'arriver à Oak Harbor, il y a quelques mois avec sa soeur adoptive ( toutes deux sont nées à Oak Harbor mais ont éte adoptées et ont quittées Oak Harbor très jeunes ), elles reviennent dans leur ville natale suite à des rêves étranges qu'elles font, le voyage étant plus important pour la soeur de x que pour x, elle, elle assimile ses rêves pour ce qu'ils sont : de simples rêves et rien d'autres. Mais elle a tenu à accompagner sa soeur et au fond d'elle, elle s'interroge aussi. le groupe †Stop your madnessde quel conte est-il tiré ? †La petite sirène 2personnage †Mélody célébrité(s) †Lucy Hale, négociable avec Selena Gomez
"On dit que les rêves sont des souvenirs d'une autre vie".
Ariana C. Pietersen - Intriguée l'une par l'autre Les deux jeunes femmes ne se connaissent pas vraiment, elles se sont entre-aperçus à diverses reprises et ont peut-être échangées deux/trois paroles mais on ne peut pas dire qu'elles ont une relation bien définie. Cependant on ne peut pas nier qu'il y a beaucoup de mimiques communes aux deux demoiselles, leur façon de triturer leurs cheveux, cette moue qu'elles font lorsqu'elles sont agacées par quelque chose ou quelqu'un et même ce petit grain de beauté dans leur nuque, pleins de petits détails qui qu'elle remarquent, mais si Ariana s'interroge véritablement jusqu'à épier la jeune brune de temps-temps, du côté de x ce sont des choses qui la font réfléchir pendant quelques secondes mais elle préfère ne pas tomber dans cette parano que peuvent avoir les gens d'Oak Harbor, mais elle ne le niera pas, au fond d'elle, elle est très intriguée par la rouquine.
Adriel E. Hannigan - Relation Soyez le plus précis dans la rédaction de votre lien. Cette partie est très importante pour que votre scénario soit pris ! Vous pouvez écrire comme vous le souhaitez. Soyez le plus précis dans la rédaction de votre lien. Cette partie est très importante pour que votre scénario soit pris ! Vous pouvez écrire comme vous le souhaitez. Soyez le plus précis dans la rédaction de votre lien. Cette partie est très importante pour que votre scénario soit pris ! Vous pouvez écrire comme vous le souhaitez. Soyez le plus précis dans la rédaction de votre lien. Cette partie est très importante pour que votre scénario soit pris ! Vous pouvez écrire comme vous le souhaitez. Soyez le plus précis dans la rédaction de votre lien. Cette partie est très importante pour que votre scénario soit pris ! Vous pouvez écrire comme vous le souhaitez.
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Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Lun 28 Oct - 3:26
« Toi et moi, c'est à la vie à la mort ! » Une promesse d'enfant, déjà à l'époque Elijah ne croyait pas aux mots que son amie venait de prononcer, pourtant il serra son petit doigt avec celui de Zippora. Elijah est né à Vancouver au Canada mais très rapidement après sa naissance, il déménage à Seattle. Sa mère est une mère célibataire qui accumule les petits boulots mais malgré cela, elle et son fils habitent dans un petit studio dans les quartiers malfamés de la ville. Elijah est souvent seul chez lui, il se nourrit comme il peut puisque sa mère n'a jamais le temps de faire la cuisine, l'école, il y va mais uniquement pour ne pas donner plus de problèmes à sa mère. Mais il n'est pas le seul dans cette situation, sa voisine de palier est elle aussi le plus souvent seule chez elle ou lorsque son père est présent, il est trop saoûl pour lui prêter attention, bref les deux enfants trouvent du soutien dans la présence de l'autre et rapidement ils deviennent inséparables. « Tu n'étais pas devant le lycée ! Tu sais ce que s'est que de rentrer toute seule quand t'es une fille par ici ? » Elijah était acoudé au balcon en train de fumer sa cigarette lorsque Zippora entra en furie dans le petit studio. « Excuse-moi...j'ai oublié. » Il était perdu dans ses pensées, alors qu'il avait dû nettoyer la cour du lycée - corvée pour avoir jeter son chewing gum sur le sol à multiples reprises - il était tombé sur la nouvelle élève, venue de Californie, le genre de fille à papa qui habituellement traîne dans les écoles privées. Il s'est montrer froid lorsque la jeune fille lui demanda de lui indiquer le bureau de directeur, mais il l'avait accompagné juste pour abandonner sa corvée de nettoyage. Et c'est alors qu'il attendait Zippora devant le lycée que la nouvelle apparu devant lui avec un large sourire. « Hey, merci pour tout à l'heure. Ce n'est pas le genre de services qu'on m'aurait rendu dans mon ancienne école. Je m'apelle Danaé au faite ! » Il resta quelque incrédule devant la jeune fille, pleine d'énergie et surtout elle semblait sincère dans ses remerciements. « Ce n'est pas le genre de services qu'on rends ici non plus, c'était juste une bonne excuse pour arrêter de faire le boulot des femmes de ménage ! » Le ton froid et peu amical d'Elijah n'entacha en train la bonne humeur de Danaé. « Et je peux avoir ton prénom, ou je me contente de Blondinet ? » « Elijah ! » L'idée d'avoir des surnoms lui était insupportable. Afin de mettre un terme à cette discussion et surtout parce qu'il ne savait plus comment réagir devant ce magnifique sourire, Elijah écrasa sa cigarette et partit sans aucune parole pour la nouvelle élève et il en oublia qu'il était censé attendre Zippora. C'est un poids sur ses épaules qui le sortis définitivement de ses pensées, Zippora était à présent aggripée sur son dos « Très bien, je te pardonne à la condition que tu me laisses dormir ici ce soir.» Elijah et Zippora avaient toujours été que de simples amis, mais ils étaient vraiment proches et ce depuis l'enfance, dormir ensemble dans les bras l'un de l'autre, ils le faisaient depuis qu'ils avaient sept ans et rien n'avait changé du point de vue d'Elijah mais pour Zippora - devenue une jolie adolescente - ça signifiait beaucoup plus.
« Non, tu n'y vas pas ! » « Ok Zip' je vais être franc, je ne te demandais pas la permission, juste je te préviens ! » Plusieurs mois s'étaient écoulés et étonnement Elijah s'était beaucoup rapproché de Danaé, la jeune fille s'était montrer persistante pour gagner l'amitié du jeune blond, et il avait rapidement craqué devant sa bonne humeur constante, elle était un véritable rayon de soleil dans sa vie et petit à petit il délaissa Zippora sans s'en rendre compte. Il s'était récemment mis en couple avec la jolie Danaé, une romance que Zippora ne tolérait pas du tout d'ailleurs elle ne se gênait pas pour rabaisser la jeune femme dès qu'elle en avait l'occasion, mais même la mauvaise humeur de Zippora ne pouvait atteindre le jeune couple, il filait le parfait amour bien qu'ils soient si différents l'un de l'autre. Ce qui brisa véritablement le lien d'Elijah et Zippora, c'est le déménagement du blond. Après qu'ils aient été diplômés, Danaé proposa à Elijah de venir s'installer avec lui dans les beaux quartiers de Seattle - un appartement payé par le paternel de la jeune fille - une véritable trahison pour Zippora qui se rappelait leur promesse d'enfant de ne jamais se séparer. « Hey Zip', ce n'est pas la fin du monde. J'habite toujours à Seattle, tu pourrais nous rendre visite. » « T'es au courant de combien ça coûte le bus pour aller là-bas ? » « Je te payerais tes voyages. » « Toi ? Redescends un peu Elijah, t'as pas une tune non plus et moi je refuse de me faire entretenir par ta princesse, il me reste encore de la dignité ! » C'est sur ces dernières paroles que leur amitié se brisa tout comme la promesse qu'ils s'étaient fait.
« Serveur ? Ton père organise une soirée et il veut que je sois serveur ? » « D'abord c'est une réception pas une soirée comme tu dis et ensuite ça te permettrait de te faire un peu d'argent... » « Dana, ton père passe son temps à me rabaisser et me faire servir lors de sa réception, c'est une nouvelle humiliation. Alors j'aimerais bien que tu sois de mon côté sur ce coup-là ! » La vie dans les beaux quartiers de Seattle n'était toute rose, surtout pour un garçon dans le genre d'Elijah et avec le temps, cette différence sociale jouait sur la solidité du jeune couple. « S'il te plait mon coeur, j'ai vraiment envie que tu sois présent à cette réception. » « Ça ne serait pas plus simple de m'inviter ? » « Tu connais mon père... » Et comme à chaque fois, il ne pu résister au regard suppliant de sa petite-amie, il allait donc être serveur lors de cette stupide réception. Le fameux arriva, c'est habillé de son costume de serveur qu'Elijah arriva à la villa de son cher beau-père. Il déambulait à travers les invités, proposant des coupes champagne et surtout il évitait de croiser le regard triomphant de son beau-père. « Merci à tous d'être venus ce soir afin de célébrer les fiançailles de mon unique et adorée fille ! » Le plateau qu'Elijah tenait dans les mains s'écrasa au sol. « Papa ? Tu n'as pas fait ça ! » La voix de Danaé semblait toute aussi surprise que le reste de la foule, mais Elijah en avait entendu assez, il s'eclipsa de la fête. Il fit la tournée des bars, seul, jusqu'à trois heures du matin. Il avait plusieurs appels manqués de Danaé mais malgré qu'il l'ai entendu se rebiffer contre son père, Elijah ne pouvait s'empêcher de la voir coupable. Il se sentait comme un moins que rien et c'était entièrement la faute de Danaé. Sans s'en rendre compte, il prit le bus jusqu'à son ancien quartier et habillé comme il l'était, il se fit vite aggressé, un coup de poing sur le joue droite et puis le trou noir. « Ils t'ont pas loupé, ces brutes ! » Elijah ouvrit difficilement les yeux, c'était à présent le matin et le visage qui se tenait en face de lui, lui arracha un pincement au coeur. « Zip' c'est toi ? » Un éclat de rire résonna à ses oreilles, et il eu l'impression de faire un bond dans le temps, elle n'avait pas changée ou peut-être un peu, elle était plus jolie, elle semblait plus mature. « Allez bois ça ! » Elle lui tendit un verre d'eau avec une aspirine. « Tu ne me demandes pas ce que je fais là ?» « J'ai lu dans le journal que ta copine allait se marier, il y a déjà plus d'une semaine...T'en as mis du temps pour retrouver le chemin de la maison. » « Une semaine ? Je l'ai appris hier... » « Je savais qu'elle allait briser ton coeur, tu m'excuseras mais je te l'avais bien dit ! » Il resta allongé plusieurs minutes à rassasser les derniers évènements et finalement il finit par s'endormir.
Plusieurs semaines s'étaient écoulées depuis la fameuse soirée des fiancailles de Danaé, Elijah avait ramené ses affaires dans son ancien quartier et il vivait à présent avec Zippora, les deux amis s'étaient retrouvés comme si aucune dispute n'avait eu lieu entre eux, plus soudés et complices que jamais. Il n'avait pas véritablement parlé avec Danaé, mais celle-ci, lui avait envoyé un lettre où elle expliquait qu'elle n'était pas au courant de ces fiancailles arrangées et qu'elle les avait annulées, mais elle disait aussi qu'un break entre eux deux ne pouvait que leur être bénéfique, si bien que depuis cette lettre - à laquelle Elijah n'a pas répondu - les deux exs-amoureux n'ont plus été en contact. « J'ai eu de supers pourboires aujourd'hui, je t'invite au ciné et tu peux même choisir un film guimauve si tu veux. » La colocation avait définitivement rapproché les deux amis, si Zippora avait toujours eu des sentiments pour son blondinet d'ami, du côté d'Elijah c'était tout nouveau et il n'arriva pas à comprendre pourquoi il n'avait pas remarqué sa meilleure amie auparavant. Il leur fallut du temps avant qu'ils échangent un premier baiser, puis quelques jours après ça, ils étaient le couple le plus fusionnel du quartier. « Je t'aime. » « moi aussi. » « à la vie, à la mort ? » Une nouvelle promesse, mais cette fois-ci lorsqu'il attrapa le petit doigt de sa nouvelle petite-amie, il y croyait. Elle était la femme de sa vie, il avait juste mis un peu de temps avant de s'en rendre compte. Elijah travaillait depuis peu dans un bar de la ville, et un beau jour il vit apparaître Danaé. « Je suis enceinte ! » Le temps s'arrêta pour Elijah, son petit bonheur explosa soudainement. Lorsqu'il retrouva Zippora, il brisa de nouveau sa promesse. « Je ne peux pas laisser ce gamin grandir sans père, je ne veux pas qu'il vive ce que j'ai vécu ! » « Alors tu retombes dans ses bras, c'est ça ? » « Non, mais je ne peux pas l'écarter de ma vie alors qu'elle porte mon enfant. Ça ne change rien entre nous, Zip' » « Au contraire, ça change tout ! Je te laisse le temps qu'il faut pour déménager... »
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Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Mar 29 Oct - 1:31
Elle rentrait de Chigaco, revenir à Neptune c'était son choix. Elle était restée suffisamment longtemps loin de sa mère et de sa soeur jumelle, lorsqu'elle y repensait, elle se sentait honteuse d'être partie comme ça, d'avoir fuis les problèmes qui touchaient sa famille mais en même temps cette année loin de Neptune lui avait fait le plus grand bien. Seule à la gare, elle attendait sagement que sa soeur apparaisse dans sa petite voiture jaune, mais celle-ci se faisait désirer - le coup typique de Saige, elle voulait avoir sa petite revanche en la laissant poireauter à la gare - après plus d'une heure d'attente, la blague devenait de mauvais goût et Zoey tenta inlassablement de joindre sa soeur sur son portable - aucun doute que celle-ci filtrait ses appels - Zoey s'impatientait vraiment, elle ne pouvait pas appeler sa mère puisque celle-ci n'avait plus toute sa tête suite à son accident survenu l'année passée. Accident, c'est un bien grand mot lorsque l'on ne sait pas ce qui s'est passé, Madame Wilde rentrait de sa garde à l'hopîtal - en vélo comme d'habitude - il était tard et ses filles l'attendait pour dîner, mais elle ne revint pas. Les deux soeurs partirent à la recherche de sa mère et c'est Zoey qui la retrouva, allongée sur le bas côté de la route - son vélo dans le fossé - elle marmonnait des mots incompréhensibles et lorsque Zoey la toucha, elle entra dans une crise d'angoisse assez violente. Depuis ce jour, elle n'est plus elle-même, ses paroles n'ont aucun sens et les médecins n'arrivent pas à expliquer la nature de ce traumatisme profond, quelques mois après cet accident, Zoey était en route pour aller vivre chez son père à Chicago. Une fuite que sa jumelle n'a pas très bien acceptée, si les deux filles sont restées en contact durant l'année, il est plus qu'évident que leur relation en a pris un coup et l'attente interminable à la gare en était un exemple. « Zoey ! » Elle tourna la tête en direction de la voix qui venait de l'interpeller et elle reconnu aussitôt le fiancé de sa soeur. Elle poussa un soupir à la fois soulagée de ne pas à avoir prendre le bus mais aussi exaspérée de l'attitude sa jumelle. « Toujours aussi rancunière, hein ? » Zoey serra son futur beau-frère et surtout ami dans ses bras, ça faisait du bien de retrouver ses repères. « Laisse-lui du temps, ça va lui passer... » Installée dans la voiture, Zoey était à la fois excitée de revoir son chez elle et à la fois elle appréhendait de revoir sa mère et surtout sa soeur.
Voilà déjà quelques mois que Zoey était revenue de Chicago, la vie à Neptune reprenait doucement son cours. Elle avait toujours du mal à voir sa mère dans un état de folie permanent mais elle essayait d'aider sa soeur du mieux qu'elle pouvait même si cette dernière continuait de l'ignorer. Zoey n'avait pas réussit à avoir une sérieuse conversation avec sa jumelle, et passer par l'intermédiaire du fiancé commençait à ennuyer le garçon. Un après-midi, alors que Zoey étudiait dans sa chambre, elle entendit comme une bagarre au sous-sol, elle s'y dirigea prudemment et lorsqu'elle reconnut le cri de sa soeur, elle entra en trombe dans la pièce et s'agrippa au dos de l'assaillant de sa jumelle - comme pour le déséquilibrer - mais elle se retrouva projeter sur le canapé. « Merde Zoey, qu'est-ce que tu fous là ? Tu n'as pas cours ?» Zoey regarda sa soeur d'un air incrédule, celle-ci semblait énervée par sa tentative de sauvetage, et juste derrière le jeune homme que Zoey avait essayé d'attaquer regardait les deux soeurs avec un regard amusé. « Qui est-ce ?» « Un ami !» Le ton sec de sa soeur prouvait qu'elle n'avait aucune envie de s'expliquer d'avantage, Zoey parut choquée pendant quelques secondes, son regard se balladait sur sa soeur et son mystérieux ami. « Il sait que tu es fiancée ? » Claquement de langue, le tic des soeurs Wilde lorsqu'elles sont fortement ennuyées, mais pour autant Zoey ne lâcha pas le regard de Saige, attendant une réponse claire à sa question. Mais ce ne fut pas Saige qui prit la parole mais son ami derrière elle. « Notre relation n'est pas de cette nature là, je sais qu'elle est fiancée et ici, c'est seulement un cours de self-défense.» Zoey était électrisée par le regard et la voix suave du jeune homme, elle mit quelques secondes à détacher son regard de lui. Puis finalement la toux forcée de Saige lui permit de reprendre ses esprits, elle quitta le sous-sol non sans lançer un dernier regard au mystérieux jeune homme.
La relation entre les deux soeurs n'était toujours pas au beau fixe, Zoey subissait toujours les regards noirs et les petites piques assassines de sa jumelle - quelque part elle méritait ce qui lui arrivait mais elle ne pouvait s'empêcher d'être agacée par la rancune de sa soeur -. Au téléphone avec le fiancé de sa jumelle, Zoey essayait de trouver des solutions pour améliorer sa relation avec sa soeur lorsque la sonnerie d'entrée se fit entendre. Elle raccrocha le téléphone et s'en alla ouvrir la porte, elle tomba nez-à-nez avec le mystérieux ami de sa soeur. « Bonjour Zoey, Saige est là ? On avait rendez-vous pour un nouveau cours. » Même si elle l'avait entre-aperçu à diverses reprises avec sa soeur, à chaque fois Zoey était étonnée face à la beauté et à l'aura mystérieuse du jeune homme. Elle mit quelques secondes avant de répondre. « Euh non, elle n'est pas là. Je crois qu'elle a cours cette après-midi...» « Etrange, je suis pourtant sûr qu'elle m'a parlé de cet après-midi. Pas grave, je repasserais.» Sans pouvoir l'expliquer, et alors qu'elle était censée avoir elle-même cours cet après-midi, Zoey proposa au garçon de rester un peu et étonnement il accepta. La fin de journée arriva bien trop rapidement au goût de Zoey, elle avait passer l'après-midi à discuter avec le mystérieux garçon qui avait à présent un nom; Noahm. Leur conversation était tellement passionnante que Zoey n'entendit pas sa jumelle rentrée. « Noahm, qu'est-ce que tu fous là ? » Zoey n'avait jamais vu sa soeur dans une colère noire, et lorsque leurs regards se croisèrent, Zoey comprit que c'était le moment de s'eclipser. « Bon je vous laisse à votre cours, et moi je vais aller voir mama à l'hopîtal.» Elle se dirigea vers la porte d'entrée, elle l'ouvrit et la referma puis elle s'en alla se cacher en haut des escaliers. La colère de Saige la rendait aussi curieuse - qui avait-il de si mal dans le fait de discuter avec Noahm ? - « On était d'accord Noahm, Tu ne devais pas t'approcher de Zoey !» « Tu la protèges de moi, mais qui la protège de toi ? » Leur échange semblait irréel, la protéger de quoi ? Zoey restait accroupie dans les escaliers, tentant de calmer sa respiration. « Jamais je ne lui ferait de mal !» « Tu es rancunière et incontrôlable, Saige, tu es probablement le plus grand danger actuellement pour ta soeur ! » Il y eu un bruit de fracas et un rugissement animal, la dernière chose dont Zoey se souvient c'est d'avoir reçu un coup sur la tête après c'est le trou noir.
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Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Mer 6 Nov - 1:20
C'est le vingt-deux octobre mille neuf cent quatre-vingt trois que Emma voit le jour dans la forêt enchantée, elle est le premier enfant de Blanche-Neige et de Charming. Malheureusement quelques temps avant sa naissance, sa mère apprend de la bouche de Rumplestiltskin une certaine prophétie qui mets en scène sa future fille, afin de contrer la malédiction que la méchante reine s'apprête à lançer, il faut que Blanche et Charming abandonne leur fille, qui deviendra alors le seul espoir pour rompre la malédiction. C'est donc quelque jours après sa naissance qu'Emma est déposé dans l'armoire magique, aucun de ses parents ne peut venir avec elle puisque selon les dires de Gepetto, il n'y a pas suffisamment de place, cependant il y trouve de la place pour sauver son fils Pinocchio et il le charge ainsi de protéger Emma dans l'autre monde et d'être sûr qu'elle revienne à ses vingt-huit ans pour briser la malédiction.
Dans l'autre monde, Emma et Pinocchio sont placés tout les deux dans un orphelinat mais après quelques temps Pinocchio s'enfuit laissant Emma derrière lui. Elle grandit alors dans différentes familles d'accueil, elle est adoptée à trois ans par une famille, qui finissent par la délaisser lorsqu'ils sont capable d'avoir leur propre enfant. Elle devient indépendante et autonome à seize ans, elle vit principalement grâce à des vols mineurs puis plus le temps passe plus elle devient experte dans ce domaine. C'est à Portland, alors qu'elle n'a que dix-huit ans, qu'elle rencontre Neal Cassidy - il débarque dans la voiture qu'elle était en train de voler - apprenant qu'il est lui aussi un voleur, les deux jeunes gens commencent à s'entraider et rapidement une histoire d'amour nait entre deux. Ils partent ensemble pour Tallahassee, alors qu'ils mettent au point un plan pour revendre des montres volées par Neal, Emma se retrouve arrêtée par la police et aucun signe de Neal. Le coeur brisé, elle part donc purger sa peine en prison où elle apprendra qu'elle est enceinte et choisira de donner son fils à l'adoption.
Dix ans plus tard, elle travaille à Boston en tant que détective privée - dans le genre spécialisé en caution - alors qu'elle vient d'arrêter un certain Ryan, elle récupère un cupcake et rentre chez elle pour fêter son vingt-huitième anniversaire, elle fait alors le voeu de ne pas être seule. Quelques secondes plus tard, on tappe à sa porte et elle rencontre pour la première fois, Henry. Il prétend être le fils qu'elle a donné à l'adoption dix ans plus tôt, elle panique et tente d'appeler la police, mais il finit par la convaincre de le reconduire chez lui à Storybrooke. Durant le trajet de voiture, Henry lui parle de la malédiction et des personnages de contes qui sont vrais, et qu'elle est elle aussi dans le livre des contes. Sceptique, Emma peine à croire les paroles du jeune garçon et préfère ne pas se lançer dans le débat, elle le reconduit chez lui et elle retourne ensuite à Boston, c'est ça le plan. Arrivés à Storybrooke, Henry refuse de lui donner son adresse, elle se voit alors obliger de s'arrêter et de demander l'adresse à Archie - dont Henry lui dit qu'il est en réalité Jiminy Cricket - Arrivée devant la maison du maire de la ville, Emma accompagne Henry et fait la connaissance de Régina - une étrange tension règne entre les deux femmes - cependant Emma accepte d'entrer boire un verre avec la maire. Emma lui assure qu'elle n'a aucune intention de s'immiscer dans la vie d'Henry et qu'il n'y a aucune inquiétude à avoir du côté du père puisque celui-ci ignore l'existence du garçon.
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Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Lun 11 Nov - 13:28
Here to never growing up ! --------------------♢--------------------
Ce petit groupe d'amis est très uni, pour Imogen c'est un peu sa seconde famille, la famille qu'elle aurait aimé avoir. Petits, ils vivaient tous dans le même quartier et ont rapidement formé cette petite bande, puis après ils sont allés à la même école et étrangement leur amitié n'a jamais changée, le temps n'a pas touché à leur complicité. Ils ont confiance les uns envers les autres et surtout ils sont toujours là quand ça ne va pas. PS : les avatars et les prénoms sont négociables.
ALYX, 24 ANS - MÉTIER AU CHOIX - LIBRE Alyx est assez semblable à Imogen, une tête brûlée qui ne se laisse pas faire. Peut-être est-elle encore plus grande gueule que Imogen, mais elle a été confrontée aux moqueries très jeune alors elle a dû forgé son caractère là-dessus. Elle est une née-moldue et elle en est fière, d'ailleurs elle méprise profondément la grand-mère d'Imogen pour les remarques qu'elle lui a faites dans le passé. avatar: Claire Holt, Teresa Palmer, Shay Mitchell...
TOBIAS, 23 ANS - MÉTIER AU CHOIX - LIBRE Tobias, c'est le charmeur de ses dames, un vrai coureur de jupons au charme naturel et au sourire ravageur. Le genre de gars qui ne se prend jamais la tête ou alors uniquement dans le but d'aider un ami. Avec Alyx et Imogen, c'est un vrai protecteur, le chevalier blanc qu'il n'est pas du tout avec ses conquêtes. Puis c'est surtout le plus gros fêtard de la bande. avatars: Alex Pettyfer, Jamie Campbell Bower, Luke Mitchell...
SHILOH, 22 ANS - MÉTIER AU CHOIX -LIBRE Shiloh est du genre timide mais pas avec ses amis, ils n'hésitent à calmer les trois têtes brûlées que sont les autres. Même s'il est le plus jeune, il est probablement le plus mature du petit groupe. Il vient d'une famille de sang-pur. avatars: Dylan O'Brien, Logan Lerman, Robbie Amell...
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Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Lun 11 Nov - 13:37
La famille Carlyle --------------------♢--------------------
Les Carlyle sont une famille avec beaucoup de tensions, qui peut se distinguer en deux camps, d'un côté Imogen - l'ainée - qui est fière de son sang-mêlé et très proche de sa mère - une née-moldue - puis de l'autres les deux petites dernières de la famille, Darcy et Lois qui sont menées par la grand-mère paternelle qui souhaite voir la famille Carlyle uniquement avec des sang-pur et ainsi corriger l'erreur de son fils. Quant au père de la famille, il fait le dos rond, refusant de prendre parti pour sa mère ou sa femme mais quelque part, il est d'avantage aux ordres de sa mère. PS : les prénoms et avatars sont négociables
☆ branche une, georgia et everett carlyle IMOGEN CARLYLE - 23 ANS - SERVEUSE DANS UN CAFÉ - PRISE DARCY CARLYLE - 21 ANS - MÉTIER AU CHOIX -LIBRE avatars: adélaide kane, lily collins, zoella sugg... LOIS CARLYLE - 19 ANS - MÉTIER AU CHOIX -LIBRE avatars: melissa benoist, annasophia robb, saoirse ronan...
☆ branche deux, (prénom) et (prénom) nom vous pouvez tout à fait être lié à la famille Carlyle, uniquement du côté Carlyle puisque de l'autre côté ce sont des moldus.
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Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Sam 23 Nov - 14:11
QU'EN EST-IL DE VOTRE VIE AMOUREUSE ? S'il y a bien quelque chose que je déteste, c'est de parler de ma vie sentimentale. J'ai des relations comme chacun, certaines plus sérieuses que d'autres mais la vérité c'est que je ne me sens pas prête à m'engager - peut-être aussi parce que je n'ai pas trouvé la bonne personne, je ne sais pas, c'est juste que je préfère me concentrer sur ma carrière pour le moment et cela n'aide pas pour avoir une relation stable. Bref je n'ai aucune envie de m'étendre sur le sujet, ma vie privée doit rester privée pour que tout fonctionne bien, tout ce que vous pouvez savoir, c'est qu'actuellement je suis un coeur à prendre. QUE PENSEZ-VOUS DES JOURNALISTES ET DES MAGAZINES PEOPLES ? Qu'ils font leur métier ! Je ne sais pas trop quoi en penser enfaite, ils font leur boulot et s'ils existent c'est que certaines personnes sont demandeuses de leur travail mais en tant que cible, je me passerais bien de leurs articles parfois. J'ai un tempérament assez fort et j'avoue que je n'apprécie pas de voir ma vie étalée dans certains magazines sans mon consentement, ça me fait du tort mais ça en fait aussi à ma famille qui ne savent plus dissocier le vrai du faux dans toutes ces conneries et là je ne le tolère pas. Donc si vous me demander ce que j'en pense lorsque je suis face à un article sur moi, je vous sortirais toutes les insultes inimaginables mais dans un autre contexte, je serais capable de relativiser. SI VOUS DEVIEZ REDÉMARRER VOTRE CARRIÈRE A 0, QUELLE EST L’EXPÉRIENCE QUE VOUS SOUHAITERIEZ REVIVRE A TOUT PRIX ? (un film, une chanson, une série, des photographies, etc qui vous le plus marqué) Oh mon dieu, je serais bien incapable de ne choisir qu'une seule expérience. Parce que bien évidemment, je sais que c'est grâce à Hunger Games que j'ai ma notoriété actuelle mais d'un autre côté, avec Winter's Bones, j'ai reçu ma toute première récompense et avec Happiness Therapy, mon premier Oscar. Il m'est impossible de faire un choix entre ses trois projets, ils ont tous été merveilleux et très différents à tourner mais ils font tous partis de ce que je suis aujourd'hui. Alors pour la question, je vais dire joker ! PARLEZ NOUS UN PEU DE VOS RELATIONS DANS LE MILIEU. ENNEMIS ? MEILLEURS AMIS ? ON VEUT TOUT SAVOIR : Déjà ce qu'il faut savoir c'est que je suis un vrai bout d'entrain, et généralement c'est soit on m'adore, soit on me déteste ! Cependant, je suis quelqu'un d'assez gentille dans le fond et je ne pense pas avoir d'ennemis, des personnes que je n'apprécie pas, oui mais je ne perds pas mon temps et mon énergie à hair quelqu'un, c'est donner bien trop d'importance à ces personnes. Pour ce qui est des amis, j'en ai pleins, des gens merveilleux qui rendent mon quotidien beaucoup plus beau. Il est vrai que je suis très proche du cast d'Hunger Games et de X-men, cela s'explique sûrement par le fait qu'ils s'agissent de plusieurs films et non d'un seul alors cela nous laisse plus de temps pour apprendre à se connaitre et passer du temps ensemble. UN DERNIER MOT POUR VOS FANS, PROCHES ? : Répondre ici, avec un minimum de cinq lignes. Répondre ici, avec un minimum de cinq lignes. Répondre ici, avec un minimum de cinq lignes. Répondre ici, avec un minimum de cinq lignes. Répondre ici, avec un minimum de cinq lignes. Répondre ici, avec un minimum de cinq lignes.
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Sujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles. Dim 24 Nov - 7:58
i just feel sort of empty these days + And there's no remedy for memory your face is like a melody, it won't leave my head your soul is haunting me and telling me that everything is fine but I wish I was dead every time I close my eyes It's like a dark paradise.