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 A Hollywood aussi il y a des règles.

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HOLLYWOOD

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A Hollywood aussi il y a des règles. _
MessageSujet: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeVen 22 Oct - 14:41


Réglement
du forum

▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬



      Avant de vous inscrire, prenez bien en compte la liste des postes vacants - les pvs seront mis régulièrement à jour mais pour plus de sureté, pensez à jeter un oeil au bottin qui sera mis à jour plus fréquemment - Une fois votre choix fait, vous pouvez cliquer sur le bouton "enregistrer" , pour l'inscription seuls les pseudos ayant ces formes seront acceptés : prénom nom , prénom prénom nom , P. prénom nom , prénom P. nom. Cette dernière forme étant celle que nous vous recommandons, mais ceci est juste un conseil. Une fois votre inscription faite, direction la présentation. Nous ne réservons pas les célébrités, une fois inscrit vous avez une semaine pour terminer votre fiche - sauf cas exceptionnel, selon l'avis des admins - Il est bien sûr évident, que vous ne pouvez poster nul part tant que votre fiche n'est pas validée - que ce soit la partie RP ou le flood.

      En ce qui concerne votre avatar, il devra OBLIGATOIREMENT être de cette taille : 200*320 - de nombreux sites et forums proposent de sublimes avatars de cette taille donc pas d'excuse - Nous interdisons les avatars animés. Pour ce qui est des signatures, vous avez carte blanche à partir du moment où cela ne déforme pas le forum. Icônes, bannières, gifs, texte...Vous êtes libres, si vous pensez que votre image ou gif est trop imposant mettez-le en spoiler. Pas évidemment pas de publicités ni d'insultes envers les autres membres dans vos signatures.

      Une fois validée, YOUPI, vous pouvez enfin poster où bon vous semble. Le mieux étant de ne pas oublier de faire vos demandes: votre fiche de lien, vos topics, votre logements, et toutes autres demandes...Le flood vous ouvre aussi ses portes, mais n'oubliez pas que c'est avant tout un forum RPG et qu'il vous faut donc RP ! Ceux qui passeront leur temps à flooder sans s'investir dans la partie RP auront un avertissement allant jusqu'au risque de perdre leur personnage si cela persiste. le code pour la fiche de présentation est le suivant : don't forget my name. Il y aura aussi une partie où vous pourrez faire vos suggestions - qui seront d'ailleurs les bienvenues - mais cela seulement lorsque vous serez validé.

      Les doubles comptes. Ils sont autorisés, au nombre maximum de deux, et avec l'obligation d'être actif autant avec l'un qu'avec l'autre. Il faut prévenir un admin avant de se servir un deuxième compte, et attendre la permission du staff. Pour pouvoir juger de la bonne volonté du membre, nous n'acceptons aucun DC avant 70 messages. Et même avec votre DC, le passage par la présentation est obligatoire.
      Nous n'allons pas vous rabâcher les oreilles, mais vous savez que le respect est important sur ce type de forum. Qu'il y est des disputes entre vos personnages - tant mieux je dirais, ça met de l'ambiance - mais jamais entre membres. Nous ne tolérerons aucune parole déplacée envers n'importe quel membre, si vous avez des différents parlez-en avec un des admins ou alors ignorez-vous !

      Ici nous vous imposons un minimum de vingt lignes, ce qui est grandement réalisable. La plupart d'entre vous en feront le double - et c'est comme vous le sentez - mais les vingt lignes sont obligatoire pour un RP suffisamment riche. Le langage sms est à oublier, ce n'est vraiment pas agréable à lire - et ceci est aussi bien pour la partie RP que HJ - Evitez aussi les fautes d'orthographes, nous ne sommes pas des pros, mais cependant beaucoup de sites aident à les diminuer alors faites un effort.
      Les sujets dit HOT sont tolérés mais pensez à le faire savoir dans le titre de votre sujet. N'en abusez pas non plus, si tout vos sujets finissent en HOT nous nous autorisons à donner un avertissement. Ceci est un forum tout public, soyez gentils de penser aux plus jeunes d'entre nous.

      Nous arrivons à la fin. Les grandes lignes ont été dites, si vous avez des questions les membres du staff sont là pour vous. Une partie invités est aussi présente pour vous aider dans votre choix de personnage ou autre...Et si vous avez bien lu ce règlement alors vous avez trouvé le code permettant de validé votre présentation Wink


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Selena M. Gomez

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A Hollywood aussi il y a des règles. _
MessageSujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeLun 22 Aoû - 10:00


« Richard, as-tu vu ce que ton fils vient de faire ? C'est fabuleux, lui, au moins, on est sûr qu'il est sorcier. » A l'autre bout de la pièce, la jeune Aliénorer ferma longuement les yeux et respira profondément. Elle entendit les pas pressés de son père descendre les escaliers et venir féliciter son jumeau. La larme qui roula sur sa joue, elle pouvait être sûre qu'aucun de ses parents n'y ferait attention mais cette toute petite larme n'échappa au regard de son frère, qui eu pour réaction un petit rictus triomphant. Vous me direz qu'il n'y a rien de méchant là dedans, les enfants peuvent être durs entre eux mais ils ne conçoivent pas la méchanceté comme le ferait des adultes - pourtant à tout juste sept ans, Aliénore savait que son jumeau prenait un grand plaisir de cette situation -. La famille McCullough originaire d'Écosse, avait déménager à Londres dès la naissance de leur jumeaux - faux jumeaux évidemment, une fille et un garçon aussi différent physiquement que mentalement - Monsieur et Madame McCullough, tout deux sorciers de parents sorciers, avait pour seule crainte qu'un de leur enfant soit sans pouvoir. Et si le jeune McCullough avait très tôt montré des signes de magie, il n'en était rien pour Ally, la seule chose qu'elle avait acquis à la naissance était un petit strabisme qui lui donnait un air simplet pour reprendre les mots exacts de mrs McCullough. Si son père travaillait pour le ministère de la magie et était souvent en déplacement dans le monde entier, il n'en était rien pour sa mère, qui avait décidé de rester travailler à la maison - elle tient un chronique sur un site internet, parlant principalement de Quidditch - autrement dit, Aliénore n'a jamais connu la paix, les paroles blessantes de sa mère et l'adulation qu'elle portait à son frère - tout ça elle l'a supporter pendant onze années -.

« Maman, Maman, j'ai reçu ma lettre, j'ai reçu ma lettre !» Ally qui était installée dans le jardin pour peindre, voyait son frère à travers la fenêtre - il courait et sautait dans tous les sens - elle n'arrivait pas à entendre ce qu'il disait, mais voyant sa mère le soulever dans les airs, elle cru comprendre qu'il avait réussis un autre sort compliqué qu'aucun sorcier n'arrivait réussit avant . Elle continua de peindre, mais ne put s'empêcher de jeter de furtifs regards en direction de la maison, elle aperçut alors une lettre dans la main de son frère. Sitôt elle lâcha son pinceau et courut à l'intérieur de la maison. « Est-ce que c'est...» « Oui, petite sœur, c'est ma lettre d'admission à Poudlard.» « Y'en a t'il une pour moi ? » L'ambiance euphorique retomba aussitôt, mrs McCullough réalisa alors que sa pire crainte venait de se produire et se mità sangloter en pestant contre sa fille, Ally ne put y croire. Elle avait déjà montrer quelques signes de magie depuis le temps - rien de bien méchant par rapport à son jumeau mais quand même - elle croisa le regard plein de mépris de son frère puis s'en alla marcher jusqu'au square non loin de chez elle. La nuit commençait à tomber et n'importe quel parent digne de ce nom serait venu rechercher leur fille mais pas monsieur et madame McCullough - qui auraient probablement espéré qu'un évadé d'Azkaban croise la route de leur fille - Ally se balançait lentement sur une des multiples balançoires lorsqu'elle sursauta, surprise par une main posée sur son épaule. « McCullough, je crois que ceci t'appartient !» sous son nez s'agitait une enveloppe et il ne fallut pas plus de deux secondes à Aliénore pour reconnaitre le cachet de Poudlard, arracher la lettre des mains de son voisin et de lui sauter au cou. « Merci, merci. Comment ça se fait que c'est toi qui l'ai ? » Ally se figea quelques instants avant de pousser légèrement son voisin et ami. « Lance ? Tu n'aurais pas subtiliser ma lettre avant qu'elle ne me parvienne juste pour me jouer un tour, hein ? » « Et risquer que ta mère ne te tue sur le champs ?! Non, McCullough mes mauvaises plaisanteries ont des limites. Ta lettre est arrivée chez moi avec la mienne, j'ai d'abord cru que devant mon génie et ma puissance l'école m'avait admis deux fois puis finalement non!» « Oh c'est merveilleux, je suis une sorcière pour de vrai ! Je vais de ce pas prévenir mes parents et mon frère, ils seront si fiers ! » « N'y compte pas trop...» Mais Ally n'entendait déjà plus les paroles de son ami, elle était partie en courant en direction de sa maison. Elle était définitivement une sorcière tout comme eux.

« Ally, tiens prends ça !» Aliénore avait attendue son frère sur le quai de Poudlard, à peine celui-ci était-il arrivé qu'il se déchargea de son gros sac sur le dos de sa sœur. Ally avait passé Noël à Poudlard - comme la plupart des années, elle préférait limiter le temps en famille et elle savait que cela convenait parfaitement à ses parents, qui plus est cela lui permettait de travailler ses sorts, en effet les sorts et enchantements n'étaient pas le point fort d'Ally - « Alors comment s'est passé l'Écosse ? » « Plutôt bien, oh au faite grand-père t'avait offert un livre pour Noël mais je l'ai fait exploser en utilisant le nouveau sort appris en cours. D'ailleurs je vois que le château est toujours là, cela veut dire que tu n'as pas fait trop de dégâts, je suis fier de toi petite sœur » Son frère lui tapota l'arrière de la nuque puis rejoignit un groupe de garçons - laissant sa sœur seule avec l'énorme poids du sac - « Reducto, tu sais que n'importe quel élève de première année y aurait penser ?» L'énorme sac avait à présent une taille miniature et Aliénore faisait face à son ami Lancelot. « J'y avais bien pensé mais même les sorts les plus simples finissent en catastrophe avec moi et mon frère m'aurait probablement tuée si j'avais abîmé ses affaires. » « Et il aurait été renvoyé, et ça n'aurait pas été une si mauvaise chose pour cette école...» Ally sourit et marcha silencieusement jusqu'au château. Elle était en troisième année, et ce n'était pas une mauvaise élève, au contraire plutôt intelligente elle comprenait vite le fonctionnement des choses mais dans la pratique c'était pas la même - on avait d'abord cru à un problème de connexion avec sa baguette mais non, le vrai problème venait d'Aliénore et de son manque de confiance en elle - Bon à cela, elle a une très bonne excuse - même plusieurs à vrai dire - les remarques excessives de sa mère ( même par courrier ) et surtout la réussite scolaire de son frère, qui en plus d'être infect, avait toutes les raisons de l'être puisqu'il était doué. Elle devint donc très exigeante avec elle-même, passa de longues heures dans la bibliothèque, et s'entraîna régulièrement à l'écart du Château - avec l'accord du Directeur -.

« Hey Ally, qu'est-ce que tu fais ? Tu es au courant que le train part dans vingt minutes ?!» Attablée dans la Grande Salle, Aliénore y sirotait son jus de citrouille tout en lisant la Gazette du Sorcier. « Je reste à Poudlard pour les vacances. » « Je croyais que tu allais chez Lan...» La jeune sorcière s'interrompit et vint prendre Aliénore dans ses bras. « Tu peux venir à la maison, mais l'ambiance Moldue c'est vraiment rasoir.» Ally fit signe que non et étreignit son amie quelques instants. « Joyeux Noël Teresa. » . Cela lui faisait bizarre de passer de nouveau les fêtes à Poudlard, même si elle n'était pas la seule dans ce cas, la plupart des élèves rejoignaient leur famille pour fêter Noël. Mais Aliénore savait qu'elle était mieux ici que dans sa famille. Depuis sa quatrième année, elle avait passé les fêtes dans la famille de son ami et ex-petit-ami Lancelot. A partir de là, je pense qu'on explique pas pourquoi, elle n'y retourne pas cette année. Lancelot et Aliénore s'étaient toujours plus ou moins tourner autour depuis leur enfance et il n'a donc pas été surprenant qu'ils finissent par sortir ensemble lors de leur cinquième année, une histoire qui fut très jolie et tendre mais qui s'arrêta brusquement en septième année, après qu'Ally soit devenue invivable. Non pas qu'elle soit devenue aussi pourrie que son jumeau mais vous savez l'exigeante qu'elle a pour elle-même, il s'est avérer qu'elle en ai aussi pour son petit-ami. Ne supportant pas qu'il loupe des cours que lui jugeait facultatifs ou qu'il passe plus de temps que de raison aux Trois Balais, bref il n'eut d'autres choix que de rompre - les sentiments respectifs ne rentrant même plus en compte, s'ils continuaient ainsi ils allaient se détruire - Ally finit son jus de citrouille et remonta dans sa salle commune, il était temps qu'elle se remette à l'entraînement, même si ses sorts étaient meilleurs que lorsqu'elle était plus jeune, il ne serait pas étonnant qu'un deuxième puisse la battre en duel. Finalement sa mère avait peut-être raison, toute leur magie était allé à son jumeau et elle n'avait récolté que le reste - tout juste suffisant pour être admise à Poudlard -.
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Selena M. Gomez

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MessageSujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeLun 29 Aoû - 7:18

« Te marier ? Avec ta folle actuelle ? Moi vivant jamais ! » « Ce que tu suggères, papa, c'est que je te tue ? Ne me tente pas. » Entre Greg et ses parents, ça n'a jamais été le grand amour. Comment me direz-vous, les parents sont censés aimer leurs enfants plus que tout au monde et les enfants doivent nourrir un minimum de respect envers leurs géniteurs, oui mais non. Tout cela s'explique par le fait que la naissance de Greg soit un "accident" , déjà parent de trois adorables et ô combien merveilleuses filles, monsieur et madame Mulligan n'avaient pas prévu d'autres enfants - encore moins un garçon et encore encore moins un boulet - Oui Greg n'a jamais été un modèle de réussite, quoiqu'il était bon à l'école mais pas suffisamment pour égaler ses sœurs ou satisfaire ses parents, mais surtout dès son plus jeune âge, il était un dragueur et un vagabondeur. Très rarement chez lui, plutôt à squatter chez une copine ou chez ses potes. Puis son ambition ridicule de devenir un simple professeur alors que ses sœurs visait -au moins- un travail de médecin. Alors oui, il a toujours eu des accrochages avec ses parents et encore plus avec son paternel, qui n'avait toujours pas perdu l'espoir de faire de lui quelqu'un de bien. Mais la vérité c'est que Greg prenait un malin plaisir à faire tout ce qui pouvait choquer son père, boire et fumer à excès, essayer toutes sortes de drogues, perdre sa virginité alors que toutes ses sœurs étaient encore vierges, changer de copine toutes les semaines, essayer les hommes, enchaîner les nuits blanches...mais le pire du pire, ce qui brisa à jamais le peu de lien qu'il existait entre lui et son père : ce fut ce mariage. Greg avait vingt ans et sortait avec Pénélope depuis six heures à tout casser mais lorsqu'il avait vu la réaction de son père quand il lui a présenté sa nouvelle conquête, Greg a su instinctivement qu'il allait se marier avec elle - avec pour unique raison, la destruction de son paternel - « J'espère quand même vous voir au mariage. » Comme il s'y attendait, personne - ni ses parents, ni ses sœurs - ne se présentèrent à la cérémonie, qui n'avait rien de grandiose en soi ; un "oui" devant monsieur le maire et un festin entre les deux mariés à Pizza Hut, tout aussi pathétique que la nuit de noces dans un Parc de Dublin. Pourtant avec cette alliance au doigt, Greg grandit, il coupa définitivement les ponts avec sa famille et s'installa avec sa femme. Il apprit à l'aimer et avec le temps, elle devient sa meilleure amie.


« Paris. » « Oui, c'est une sorte de devinette ? » « Je suis mutée à Paris, à nous les petits français... » Greg ne s'était jamais posée la question de savoir s'il suivait sa femme ou non, vivre sans elle lui était inimaginable, pourtant il n'avait rien du couple modèle. Après cinq ans de mariage, il n'avait toujours pas d'enfant - et n'en aurait probablement jamais mais cela faisait jaser leur entourage - mais surtout ils collectionnaient adultère sur adultère et les seuls qui semblaient choquer par cela, c'était les autres pas eux. Un couple libéré du XXIe siècle - selon eux - ils avaient plus leur place à Paris, là où on les jugerait moins. Greg n'eut pas trop de difficultés à trouver un poste de professeur d'Anglais dans une des universités Parisienne. Ils trouvèrent rapidement leurs repères, reprirent leurs vies comme ils l'avaient laissé à Dublin. Mais comme tous mariages, le leur commence à s'essouffler. Oui même avec quelqu'un de similaire à vous, il arrive un moment où vous n'attendez plus les mêmes choses. « Je veux un enfant. » « Et je veux être Brad Pitt... » « Greg, je suis sérieuse. On a trente ans, dix ans de mariage, des centaines de partenaires sexuels, je pense que l'on s'est bien amusés mais il est temps de se ranger et d'avoir une vraie vie de couple et de famille. » « mais je ne t'aime pas comme ça, Penny. » Il savait qu'il lui avait fait mal, mais il entendait ses idioties depuis quelques mois déjà et la manière forte était la seule manière qui faisait réagir sa femme, mais cette fois-ci fut différente. « Moi non plus, tête de nœud, mais je ne veux pas que notre enfant est la vie pourrie qu'on a eu. » « notre enfant ? » Le sourire sadique de sa tendre épouse prit tout son sens, des mois qu'elle maniganceait cela. Et ce qu'il avait toujours su se révéla exact : elle était comme lui, trop maligne pour lui avoir laisser une échappatoire.
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Selena M. Gomez

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MessageSujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeMar 30 Aoû - 6:54


    23h03. Paris un mardi soir.
    Greg venait de pousser la porte de son appartement. Étrangement les lumières étaient encore allumés malgré l'heure tardive, il entendait le sèche-cheveux fonctionner et déduis donc logiquement que sa femme était dans la salle de bains. Il soupira, un léger mal de tête montrant le bout de son nez, il claqua la porte sans se rendre compte de la force qu'il y avait mis et n'entendit plus que le bruit de la télévision - probablement restée allumée dans leur chambre - « Ce n'est que moi ! » Voulant rassurée sa femme, qui aurait très bien pu débarquée comme une furie en l'aspergeant de déo pensant certainement qu'il s'agissait qu'un quelconque intrus. Il enleva sa veste et sa cravate qu'il jeta négligemment sur un des fauteuils en cuir blanc et posa sa mallette sur le sol avant de rejoindre la cuisine pour s'y servir un verre de rhum. Comme s'il n'avait pas assez bu, ses cours se terminaient généralement aux alentours de dix-sept heures et le temps qu'il corrige quelques devoirs, qu'il réponde aux questions de ses étudiants, il terminait sur les coups de sept heures. Bien sûr il n'était pas rare qu'il aille ensuite prendre un ou plusieurs verres avec ses collègues ou même des étudiants. Mais ce soir, il avait fait fort, d'abord partis pour un manger un morceau avec un de ses ami, ils s'étaient retrouvés à regarder un match de Hockey et comme l'équipe parisienne s'en est sortie vainqueur, ils sont allés fêter ça. Résultats des courses, il était pas loin de minuit et il rentrait chez lui avec un début de migraine et il ne s'étonnait pas de voir débarquer son épouse dans les minutes suivantes pour subir son interrogatoire. Une dernière gorgée de rhum et Greg se dirigea vers la chambre. Il éteignit la télévision et baissa l'intensité de la lumière. Il resta quelques minutes la tête dans ses mains puis se dirigea vers la salle de bains. Il esquissa un rapide sourire et déposa un rapide baiser sur le front de sa femme avant de se passer de l'eau sur le visage. « Comment se fait-il que tu ne sois pas encore coucher ? » Bon il allait probablement regretter d'avoir poser la question, mais le regard froid de Penny lui donnait déjà des frissons. « J'espère que tu n'es pas fâchée pour ce soir, c'était le dernier jour d'un des vieux prof de la fac et j'ai pas vu l'heure passée. » Large sourire, voulant clore la discussion. Il retourna dans la chambre et s'engouffra dans les draps encore tout habillé.
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Dianna Agron

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MessageSujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeJeu 9 Fév - 13:50




« Votre mère a demandé le divorce. » « C'est la meilleure chose qu'elle n'ai jamais faite. » « espèce de petit con... » Milos a grandit dans l'une des banlieues de Melbourne en Australie, aux premiers abords, une famille pour le moins banale et qui semble être unie. Un père, directeur d'une agence de mannequin, une mère ex-mannequin et devenue mère au foyer avec trente kilos de plus, et leurs enfants Milos l'aîné et sa petite soeur. Dès son très jeune âge, Milos a lié une forte complicité avec sa mère et a très vite compris, que son mariage n'était pas le rêve que cette jeune américaine avait rêvé. Un mari infidèle et devenant violent avec le temps, Milos a toujours nourris une haine sans pareil pour son paternel dès que celui-ci a levé la main sur sa mère. Mais il faut plusieurs années avant que Madame Pomeray se décide à demander le divorce, Milos a quinze ans lorsque son père lui annonce leur divorce et son obtention de la garde des enfants. Sa mère rentre au Etats-Unis, à Jacksonville précisément, alors qu'il est dans l'obligation de rester aux dépends de son géniteur avec sa petite soeur. Ces trois années d'obligation de vie commune avec son père sont affreuses pour lui et sans s'en rendre compte, il devient peu à peu comme cet homme, colérique et séducteur. Cela commence par une simple vengeance, l'idée de coucher avec les mannequins de son père et de les jeter de façon brutale afin qu'elles rompent leur contrat. A côté de cela, il protège sa soeur, qui est fascinée par le monde du mannequinat et boit toutes les paroles que leur père lui dit. Il finit le lycée, bosse quelques temps dans un magasin de disques pour se faire de l'argent et peu de temps après ses dix-huit ans, il s'envole rejoindre sa mère aux états-unis. Malgré la douleur qu'il a de laisser sa soeur avec ce salop, il sait qu'il a fait le bon choix et qu'il n'aurait pas pu vivre plus longtemps en Australie sans tenter de tuer son père.

« Je te donnerais plus d'argent, si c'est pour te voir ruiner ta santé. » Sa mère lui servait encore son refrain sur les dangers de la cigarette, et comme à chaque fois qu'elle lui en parlait, Milos pensait qu'heureusement elle ne savait pas qu'il faisait des excès bien plus graves pour sa santé. Il se contenta de lui embrasser le front et de lui promettre d'essayer d'arrêter - du moins lorsqu'il serait en sa compagnie - Depuis son départ d'Australie, Milos avait fait du chemin. Il avait d'abord retrouver sa mère et avait vécu moins d'un an avec elle dans son petit appartement de Jacksonville, avant d'entrer à l'université et d'intégrer une fraternité et ainsi vivre avec ses frères. Il était toujours très proche de sa mère, mais ne pouvait décemment pas lui raconter toute sa vie, les fêtes et les excès qui le faisait vivre. Il savait que parfois elle revoyait son père dans son attitude et cela l'énervait, une fois il était rester plus d'une semaine sans parler à sa mère à cause d'une remarque de ce genre. Peut-être était-ce vrai, mais Milos ne l'acceptait pas. Il n'avait rien du prince charmant, mais il avait la décence de ne jamais rien promettre à ses conquêtes contrairement à ce qu'avait fait son père. Il se refusait de tomber amoureux et coupait court à toutes relations lorsqu'il voyait que l'un ou l'autre s'attachait. Il suit des études de droit afin d'être avocat spécialisé dans les divorces, et ainsi réparer l'injustice qu'il a subit en restant avec son père pendant trois ans.

« Putain que t'es chiant, en quoi ta soeur a terriblement changée ? » « Elle est...devenue, je sais pas, trop...elle est devenue un peu comme toi !» « c'est quoi ce ton de reproche ? j'te signale que t'es bien content de les trouver les "filles comme moi" ! » Milos avait eu le plaisir d'apprendre par sa mère que sa petite soeur arrivait Jaksonville pour poursuivre ses études et son bonheur avait laisser place à une puissante haine qu'il avait reporter sur le mur de la chambre de sa meilleure sex friend. En effet, il ne lui fallut qu'une après-midi à faire visiter le campus à sa soeur pour se rendre compte qu'elle était devenue la réplique exacte de toutes ses nanas qui passaient dans son lit et il ne put s'empêcher de lui faire la morale en disant tout le mal qu'il pensait de son père et de sa responsabilité dans son changement à elle. « tu lui ressemble tellement, que tu n'es pas en mesure de me faire la morale. »
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Dianna Agron

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MessageSujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeLun 13 Fév - 14:33



CALLIE-ZOELIE & MILOS hellsangels




    16h30. Tout juste avait-il finit les cours, que Milos passa dire bonjour à sa mère. Depuis qu'il ne vivait plus chez elle, il essayait de passer la voir le plus souvent qu'il lui était permis, mais entre les cours, les filles et les gueules de bois, cela se résumait à une fois par semaine. Sa mère vivait sa vie de façon normale, elle était comme la plupart des mères divorcées, à sortir entres amies et même à avoir des aventures. C'est cela qui n'enchantait pas Milos - non que sa mère est des aventures mais pour bien la connaître il savait qu'elle avait un don pour dénicher les salops -. Lorsqu'il arriva chez elle, elle était en pleine séance de maquillage avec deux de ses amies quadragénaires et Milos ne s'éternisa pas, surtout lorsqu'il les entendit parler du club où elles allaient sortir le soir. Encore heureux qu'il n'avait jamais croisé sa mère dans un bar ou dans un club. Il tenta d'appeler sa soeur sur le chemin qu'il prenait pour retourner sur le campus, mais comme à chaque fois, elle ne répondit pas. Et dire qu'autrefois, ils étaient si liés ces deux-là, à présent elle le fuit et il passe son temps à lui faire la morale - bien qu'il ne soit pas un sain lui-même - Arrivé dans sa chambre de fraternité, il se contenta de changer de tee-shirt, passant d'un pull couleur taupe à une chemise noire des plus banales. Il n'était pas tard mais après vu sa mère en train de se pouponner, il avait d'un verre et il savait exactement où aller.

    18h. Bien que le bar ne soit pas très loin du campus, Milos avait pris un taxi et réglait à présent la note. Il bouscula quelques fumeurs qui étaient sur son chemin, sans écouter les reproches qui fusaient dans sa direction - Pour commencer il commanda un pichet de bière australienne - son pays lui manquait par moment - et partis s'installer à une table avec deux jeunes filles. « Bonsoir mesdemoiselles. ». Il remarqua que l'une d'elle lui souriait mais n'eut pas le temps de rajouter un mot avant que l'autre ne tire sa copine par la manche. Milos le regarda sortir sans quitter son petit sourire. La dernière lui avait rendu un grand service, si de loin elles semblaient mignonnes, de près ce n'était pas la même histoire. Il se remplit un premier verre et but une longue gorgée. Il resta ainsi pendant un bon quart d'heure avant de sortir fumer une clope. Il s'éloigna du groupe qu'il avait bousculé tout à l'heure et alluma sa cigarette.
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Dianna Agron

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MessageSujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeDim 26 Fév - 14:33



chap.1
Petite clinique privée de San Franciso. Söanna montre le bout de son nez. Présent dans la salle, sa mère - qui n'avait pas vraiment d'autres choix que d'être présente - et deux médecins. Aucune trace du père. Bien sûr que non, comme il l'avait dit à sa femme « Ce mardi ? Ah non, Dolores. Moi Mardi je déjeune avec de gros clients, je ne vais pas annuler pour ça. » ça ou autrement dit la naissance de son unique enfant. Bon Madame Van Bernett n'avait rien à envier à son époux, dès qu'elle fut physiquement présentable, elle reprit son boulot de styliste et paya de nombreuses nourrices pour élever sa fille. L'enfance que la jeune enfant a connu ne fut pas terrible, comment aurait-elle pu souffrir de l'absence de ses parents, elle ne les a jamais vraiment côtoyés. Son repère familial était le vieux labrador de son père et la gouvernante principal; Erin. Ses parents représentaient l'autorité mais en aucun l'amour ou la famille pour elle. Cependant elle a appris à les craindre et a ne jamais contester une de leur décision.

chap.2
« C'est quelque chose qui me tient à coeur, mère. Et ce n'est qu'un stage d'été, rien de plus. » « Je suppose que nous pouvons t'autoriser cela, l'année qui arrive promet d'être riche en émotions pour toi et un peu de répit avant ne peut être que bénéfique. » Alors âgée de dix-sept ans, Söanna venait d'être embauchée dans une radio Californienne qui la prenait à l'essai pour une chronique musicale. Bien sûr la jeune demoiselle avait décroché son diplôme de fin de lycée depuis quelques mois et ses parents la voyait déjà à l'université mais ce n'était pas ainsi que Söanna imaginait sa vie. Cet emploi n'avait rien d'un stage, c'était un essai d'un mois avant d'être embauchée pour un contrat de trois ans - chose qu'elle n'énonça pas à sa mère - d'ailleurs bien trop contente que celle-ci accepte son "stage" qu'elle ne prit aucune attention à la seconde partie de la phrase de sa mère.

chap.3
« Fiançée ? Erin, tu te rend compte. » Un an après qu'elle est débuté dans la radio et que ses parents se soient sentis trahis, ils lui annoncèrent que pour garder le peu de prestige qu'offrait le nom Van Bernett, il fallait absolument qu'elle épouse le fils d'un grand ami de son père - lui même proche de la débauche sociale - Bref un mariage arrangé depuis suffisamment longtemps que les débâcles des enfants ne soient qu'un accélérateur à cette union. Elle n'avait jamais rencontré ce garçon et sa mère en parlait comme d'un petit con couchant à droite et à gauche. Se permettant de comparer sa fille à cet obsédé sexuel. « Alors parce que j'aime mon travail et que je refuse d'aller à l'université, je suis obligée d'épouser un détraqué sexuel. Bon sang Erin, quel genre de parents font cela ? » « Je vous ai toujours dit qu'il ne fallait jamais défier vos parents Miss Van Bernett, vous le saviez. »

chap.4
Les fiançailles officielles allaient avoir lieue dans l'après-midi et Söanna n'avait toujours pas rencontré le garçon en question. Bon elle l'évitait aussi, le chauffeur familial avait été les chercher le matin à l'aéroport et depuis Söanna trainait dans le grand parc. Tout ce qu'elle avait bien voulu entendre de son futur époux, c'était qu'il avait son âge et qu'il venait d'Irlande. Le reste elle n'avait pas voulu l'entendre, ne serait-ce que son prénom ou voir une photo de l'homme avec qui elle devrait partager la fin de ses jours. « La radio hein ? Et moi qui pensait que si jamais je me mariais un jour, j'aurais une sulfureuse actrice porno à mon bras. » Elle s'était retournée vivement, surprise par la voix si sûre d'elle qui provenait d'un blondinet bien propre sur lui. Pendant quelques secondes elle fût déstabilisée par la beauté et l'assurance du jeune homme. Puis elle comprit le sens des paroles de celui-ci et se rebiffa. « réponse typique d'un homme ayant une dépendance pour le sexe. » le sourire qui lui donna, la déstabilisa encore un peu plus. « Toujours vierge ? » Elle s'empourpra et le dépassa pour rejoindre sa chambre en grandes enjambées. Mais elle parvint à entendre ses dernières paroles. « T'en fais pas, la nuit de noces est pour bientôt. »

chap.5
Vingt-et-un ans aujourd'hui, toujours mariée à cet enfoiré de première. Mais beaucoup de choses ont changées. Le début de sa relation maritale fut très houleuse comme sa première rencontre avec son mari. Puis le mariage eu lieu et ils se retrouvèrent comme des alliés dans une union qui n'avait pas souhaitée. Pourtant ils gardaient bien les apparences et acceptèrent d'emménager ensemble, pendant plusieurs mois, ils furent si proches que Söanna cru à une histoire d'amour sérieuse. A sa connaissance, il n'avait pas d'aventure extra-conjugales et elle en déduisait donc qu'il était tombé amoureux d'elle. Et un soir, elle s'était permis de prononcer les noms interdits.« Je t'aime. » Il aurait pu être endormi à cette heure-ci mais non et ces mots lui firent mal. Parce qu'il n'était pas fidèle comme le pensait stupidement Söanna, il gardait les apparences comme il l'avait toujours fait et il pensait qu'elle aussi, elle jouait. Son alliée devenue sa meilleure amie - et aussi un bon coup - elle venait de le trahir en laissant ses mots sortir de sa bouche. « On a assez joué, je demande le divorce.» Il se leva et quitta la chambre. Elle n'avait jamais su ce que c'était d'avoir le coeur brisé et là au fond de son lit, elle souffrait terriblement.

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Selena M. Gomez

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MessageSujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeSam 10 Mar - 13:47

A Hollywood aussi il y a des règles. Tumblr_m07775vO1M1qgntc6o1_500 A Hollywood aussi il y a des règles. Tumblr_ly6196AxJu1r50a76

ઈ MARJORIE & LUZ-IMOGENE ઈ




    Hypersensible & éponge à émotions, c'est ainsi qu'on connaissait Luz-Imogene. Et il y avait des matins, où elle se réveillait maussade et c'était le cas ce matin. Et rien n'allait aller en s'arrangeant...Elle vérifia son compte facebook comme elle le faisait systématiquement tous les matins et tomba sur des photos d'une récente soirée où certains de ses amis avaient été conviés, elle put notamment y voir des photos de son ex-petit-ami aux bras de charmantes jeunes femmes. Même six mois après, ce genre de photos continuaient de la blesser, elle aurait voulu que cela ne la touche pas, mais c'était hors de portée de sa volonté. Elle éteignit l'écran brusquement et sécha d'un revers de manche les larmes qui commencèrent à rouler sur ses joues. Encore en pyjama, elle s'installa dans la cuisine en face de son père et échangea les banalités du dimanche matin. Sa mère apparu avec un visage très pâle David, je dois avoir une montée de fièvre. Faudrait mieux aller à l'hôpital. Luz se leva comme pour dire qu'elle s'en occupait mais son père l'arrêta d'un geste de la main. Non, Luz. Ce n'est pas à toi de t'en occuper. J'enfile un jean et on y va chérie. Ses parents sortirent de la cuisine et Luz resta seule, le regard fixé dans ses céréales. Elle attendit que ses parents soient partis pour éclater en sanglots. Elle entendit alors son chat miauler et se dirigea dans le salon pour apercevoir ce petit monstre faire ses griffes sur ses nouvelles Jimmy Choo. Elle envoya un coussin sur ce maudit chat et s'enferma dans sa chambre. Plus d'une heure passa lorsqu'elle fut enfin calmée. Elle chercha son portable dans son sac et composa instinctivement le numéro de Marjorie. Elle ravala tant qu'elle pu ses larmes et réussis à donner rendez-vous à Marjorie sur Queen Street. Une douche froide, lui fit le plus grand bien. Elle cacha du mieux possible ses yeux rouges et gonflés par larmes grâce à un peu de maquillage et se contenta d'enfiler un vieux jean et une chemise rouge. Elle attacha négligemment ses cheveux en une queue de cheval et lorsqu'elle sortie de sa chambre, attrapa sa paire de bottes Jimmy Choo - pas mal abîmées par ce stupide chat -

    Elle pris le bus pour aller jusqu'au centre-ville - avec sa carte étudiante, il était plus intéressant pour elle de se déplacer en transport commun que de prendre sa propre voiture - Elle marcha assez rapidement et la tête baissée afin d'être sûre de ne croiser personne. A ce moment précis, elle voulait juste voir son amie Marjorie - qui avait toujours la personne à qui elle se confiait depuis plusieurs années déjà - Elle entra dans leur café habituel et alla s'asseoir à une table. Elle commanda un jus d'orange et un muffin. Elle attendait depuis quelques minutes lorsque son amie arriva à son tour. Elle tenta un mince sourire et fit la bise à Marjorie. Elle la laissa commander puis prit aussitôt la parole : Je suis désolée de t'embêter un dimanche, t'avais sûrement mieux à faire.... Elle but une gorgée de son jus d'orange puis leva la tête vers son amie. Luz sentit son menton se tordre, non il ne fallait pas qu'elle se mette à pleurer là tout de suite.
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MessageSujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeDim 11 Mar - 0:34


Je vais adorer ce sujet je suis du genre à confiner toutes mes citations préférées dans des cahiers alors...


« Dans l'éventail des amours impossibles, il y en a un de la pire espèce. Sa cruauté est telle qu'il tue ses victimes. On l'appelle l'amour non-partagé. Celui-là je le connais, je suis experte en la matière. Dans la plupart des histoires d'amour, les sentiments sont réciproques et dans les autres ? Et nous alors ? Les laissés pour compte ? Nous, qui aimons sans retour, tout seul dans notre coin ? Nous sommes les victimes de l'amour à sens unique, les oubliés dans la distribution du bonheur. Nous sommes les mal aimés, les bancals, les handicapés du cœur et ça ne nous donne même pas le droit à des places réservées au parking. » The Holiday (a)

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MessageSujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeMer 14 Mar - 12:12


ASHLEY&LIAM
salut ça farte ?


(c) PinkSoldier & Sterne*

sonnerie de réveilNon, encore cinq minutes... Et un réveil qui fait connaissance avec le sol, un. Il était plutôt rare qu'Ashley puisse faire des grasses matinées, et même quand son emploi du temps lui permettait cette folie, elle prévoyait autre chose sans vraiment réfléchir à la bêtise. Ce matin, elle avait prévue de rejoindre Liam sur l'une des plage d'Hollywood pour une petite session de surf et ils avaient convenus que plus tôt ils y allaient mieux ce serait. En effet, ils éviteraient ainsi la plage bondée et surtout les photographes. vibrement de portable Oui, c'est bon je me lève. Elle envoya son oreiller sur le bureau sur lequel reposait son mobile. Bon en soi, elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle-même, puisque c'était elle qui avait programmé les deux appareils et c'était aussi elle qui avait prévu quelque chose de bonne heure. Six heures trente, Ashley quitta son lit à regret et passa directement à la douche. Voilà qui fut une bonne idée puisque dès qu'elle reçut le jet d'eau tiède sur son visage, Ashley retrouva ses esprits. Elle s'enveloppa dans une serviette et se dirigea vers la cuisine. Un coup d'oeil à l'horloge Presque sept heures, il me reste une petite heure seulement... Elle soupira parce qu'elle savait qu'elle allait être en retard, elle n'était pas encore habillée, ni même maquillée et il lui restait son petit-déjeuner à préparer et à prendre. Elle aurait pu sauter le petit-déjeuner et prendre quelque chose sur la route, mais ça c'est mal connaître la Benzo, à moins que vous ne vouliez la voir grognon toute la journée, laissez-la manger son énorme petit-déjeuner maison. Et encore ce matin, elle fit un effort et oublia l'omelette jambon. Elle se contenta d'un grand café avec un bol de céréale et un petit muffin. Sept heures et demi était déjà passé lorsqu'elle passa dans la salle de bains pour se sécher les cheveux et les attacher en queue haute. Autre passage dans son dressing - dix autres minutes de perdues dans la recherche de sa combination de surf courte - une fois la main sur cette combinaison, Ashley enfila un short et un large tee-shirt. Elle repassa dans la salle de bains pour se maquiller très légèrement. Serviette de plage, lunettes de soleil, crème solaire, téléphone, clef, portefeuille et sac. Voilà elle est prête et il est déjà huit heures passées.

Heureusement pour elle, elle n'habitait pas très loin de la plage où elle avait rendez-vous, tout juste 10 minutes en voiture, mais trouver une place de parking s'avéra compliqué. Elle tourna pendant quelques minutes avant, qu'elle ne repère une place libre - un peu plus loin qu'elle n'aurait espérer - C'est donc en petites foulées qu'elle quitta le parking et descendit jusqu'à la plage. Il y avait un peu de monde, mais rien comparé à ce que ça serait cet après-midi. Elle balaya la plage des yeux et reconnu Liam de dos, assis face à la mer, il devait sûrement observer les quelques surfeurs qui étaient sur l'eau. Ashley s'approcha avec un large sourire - peut-être n'avait-il pas remarqué son retard - Hey salut Elle s'assit à côté de lui, un peu essoufflée par sa course du parking jusqu'à la plage. Elle regarda quelques secondes les surfeurs faire leur prouesses, lorsqu'elle réalisa quelque chose. Mince...Hey Liam, je crois que j'ai oublié un petit quelque chose ! Et trois fois rien en effet. Dans sa hâte pour quitter la maison, Ashley avait juste oublier de prendre sa planche de surf. Elle se pinça la lèvre inférieure. Quelle nulle, elle arrivait en retard et sans sa planche en plus.
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MessageSujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeLun 9 Avr - 3:40

Garreth, où vas-tu comme ça ? Tu te souviens que ton père t'emmène avec lui au golf ? Mais maman, j'ai pas envie d'y aller ! Et puis j'ai promis à Trish de la rejoindre à l'étang... Bien, je suis sûre que ton père comprendra. Files ! Malheureusement son père ne compris pas pourquoi son fils préférait perdre son temps avec un gamine plutôt que d'améliorer ses capacités au golf avec son père. La réponse aurait semblée simple pour tout le monde : un enfant de dix ans préfère jouer avec les autres enfants plutôt que d'être entourer d'hommes parlant affaires et buvant du whisky. Mais monsieur Wooks ne comprit pas cela et en voulu à sa femme pour être aussi souple avec leur unique fils. Ce n'était qu'une énième dispute entre ses parents mais Garreth se sentait coupable à chaque fois. C'était un enfant modèle comme on pouvait le dire à l'époque, pas de bagarres à l'époque, pas mal d'amis même s'il passait le plus clair de son temps avec Trish - sa meilleure amie - et des résultats scolaires plus que positifs. Il faisait du golf et du tennis comme son père le désirait et ainsi ce dernier le laissait prendre des cours de musique. Au bout de trois ans de cours, Garreth était un excellent pianiste. La Californie ? Est-ce que c'est loin ça ? Oui, je crois. Maman dit qu'elle veut être loin de papa donc... Oui mais nous ? J'ai pas envie de débuter le lycée sans toi. Alors âgé de quatorze ans, Garreth vit ses parents divorcés, il ne fut pas triste pour la séparation de ses parents, l'adolescence approchant, il lui était devenu de plus en plus difficile d'avoir de bons rapports avec son père. Alors lorsque sa mère prit enfin la décision de le quitter, Garreth se rangea instinctivement de son côté. Au bout d'un an de procédure, l'ex madame Wooks décida de quitter Columbia et de partir refaire sa vie à Oceanside en Californie privant ainsi son fils de tous ses amis. Oui ce fut dur pour Garreth mais il était incapable de s'opposer à sa mère - qui avait déjà suffisamment souffert. C'est donc le coeur lourd qu'il quitta Columbia et surtout Trish.

Vivre à Oceanside changea radicalement l'attitude du jeune homme, peut-être est-ce dû à l'adolescence , au divorce de ses parents ou à la perte de repères mais Garreth devint un nouveau lui-même. Il devint mature de par le fait qu'il ai à aider sa mère avec les tâches ménagères et autres trucs. Il apprit aussi qu'il pouvait plaire et qu'il prenait du plaisir à cela. Il découvrit l'alcool et le tabac - l'évasion que cela pouvait lui provoquer - il connu aussi quelques drogues douces et leurs effets magiques sur son organisme. Il goûta au sexe bien évidemment bref il devint un adolescent expérimentant ce qu'il pouvait expérimenter. Il se fit vite de nouveaux amis, s'intégra rapidement dans les grosses soirées californiennes, il oublia bien vite sa vie d'enfant à Columbia, la vraie vie c'était à Oceanside. Humm...Hey Roxie, tu peux me passer mon téléphone là...Oh et puis si tu pouvais être partie avant huit heures, ce serait parfait, ma mère rentre de week-end, j'ai pas envie... Euh, Garreth il est huit heures moins cinq... justement, dépêche-toi ! Il n'était gentleman et beaucoup de ses anciens amis en seraient surpris, lui le gentil môme à la tête blonde, si parfait. Il avait bien changé mais encore il n'était pas un pourri. Des gars beaucoup moins fréquentables que lui vivaient à Oceanside.
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MessageSujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeSam 14 Avr - 5:46

Voilà, c'est ici que nous allons vivre à présent, Ismaël. Ismaël venait d'emménager avec sa mère à Palm Spring. Il avait tout juste huit ans et le divorce de ses parents avait été prononcé quelques semaines auparavant. Avant tout cela, il vivait à Austin, au Texas. Il était plutôt heureux là-bas, avait des amis avec qui il adorait jouer au baseball et puis à l'époque ses parents étaient heureux - même si sa mère travaillait beaucoup - c'est probablement à cause de cela que tout ce qui a suivi est arrivé. Monsieur Hoggans a trompé sa femme et pire que tout il l'a quitté pour vivre avec l'autre. Ce divorce a été un électrochoc pour la mère d'Ismaël, elle travaillait trop et cela jouait sur sa vie de femme et de mère. Elle a donc démissionné et elle a décidée de venir vivre à Palm Spring avec son fils, pour commencer une nouvelle vie. Bonjour Ashleigh, est-ce qu'Ismaël peut venir faire ses devoirs à la maison ? Papa dit qu'il peut même rester pour le dîner... Eh bien, c'est très gentil Trish. Dis à ton papa, qu'un de ces jours ce sera à vous de venir souper chez nous. Trish, c'était la meilleure amie d'Ismaël ici. Bien sûr, il avait pleins d'amis et jouait toujours aussi souvent au baseball avec les garçons du quartier mais Trish habitait à quelques maisons de chez

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MessageSujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeLun 14 Mai - 3:56

WELVET, DIANA PANDORA
CRÉDIT - TUMBLR

« Mais la terre n'est que poussière, tant que l'Homme ignore comment,
Il peut peindre en milles couleurs l'air du vent !
»
"This is something that everyone knows :"

NOM & PRÉNOM(S) : Diana Pandora Welvet.♦ DATE DE NAISSANCE ET AGE : six juillet, elle a vingt-et-un ans. ♦ ORIGINE(S) : amérindiennes ♦ EMPLOI ET/OU ETUDE(S) : garde forestier ♦ STATUT : célibataire

QUELQUES INFORMATIONS ESSENTIELLES SUR TOIécrit ici des choses importantes, des tics, des hobbies, des choses que ton personnage aime etc...
TRAITS DE CARACTÈREécrit ici comment est ton personnage, ses qualités, ses défauts, ce qu'il aime, ce qu'il déteste...


CHAPTER ONE ♦ "Because we all lived in a fairy >tale."

A Hollywood aussi il y a des règles. Tumblr_m06rsqg75Y1r5pjf4o1_500

A L'EPOQUE TU ÉTAIS : Pocahontas ♦ LE CONTE : Pocahontas ♦ TON RÔLE DANS L'HISTOIRE : Princesse de la tribu Powhatan ♦ DE QUEL COTE ES-TU ? : Le bien. Si cela existe vraiment, bien ou mal, tout ça n'est juste qu'une question de point de vue. Mais je suis contre la souffrance et l'injustice alors on peut dire que je suis du côté des gentils. ♦ TON DERNIER SOUVENIR : Tout est très confus. Je ne serais décrire un souvenir net, juste un sentiment de liberté et de communion avec la nature. Comme si tout ce qui avait été créer par l'homme était superflu et inutile.

« Tu as encore manqué le souper avec toute la tribu, Pocahontas. » « J'étais en promenade... ».« Tu n'as donc pas non plus aider à la récolte aujourd'hui ? » L'unique réponde de la jeune indienne fut un sourire boudeur voulant amadouer son vieux papa. Ce dernier se contenta de soupirer en secouant négativement la tête. Pocahontas, unique enfant du Chef Powhatan, se devait de montrer une certaine implication dans la vie de tribu, d'autant plus que sa mère n'était plus de ce monde. C'était donc elle l'emblème féminin de cette tribu. Mais rien n'y faisait, Pocahontas ne se sentait pas concernée par tous ses devoirs envers la tribu. Elle aimait son père et tous les Powhatans mais elle aimait encore plus sa liberté et c'est dans la nature qu'elle était elle-même. Elle avait peu d'amis, enfin humains j'entends, bien tous dans le village la respectait comme la princesse de la tribu et jamais elle n'avait manquer de respect volontairement à quelqu'un. Elle était donc plus ou moins appréciée par ses semblables mais les animaux, eux, l'adoraient. Qui peut prétendre avoir une si belle communion avec la nature ? Pocahontas avait cette prétention.



CHAPTER TWO ♦ "now, we are trapped in a curse..."

A Hollywood aussi il y a des règles. Tumblr_lsrj1rbUSf1r3v6f2o1_500
Désormais bloqué dans un monde sans magie, tu as vécu une vie normale. Enfin tout dépend de ce que normal veut dire pour toi. Maudit, tu vis ici depuis le début de la malédiction (tu es donc un personnage de conte), ou alors tu y es depuis un bout de temps seulement (tu es donc un sauveur ou une personne non-impliquée dans cette malédiction). Attention, Dieu sait ce que la reine vous a imposé comme vie, comme souvenirs... une chose est sûre, personne ne veut partir de Taleville. De toute façon, personne ne le peut. Quant aux autres, cela devait être dur de vivre sans ses véritables parents ? Ou peut-être ne vous ont-ils jamais dit la vérité ? Mais ce que Taleville redoute le plus ce sont sûrement les étrangers...


"You and no one else."


QUI ES-TU ? : écrire ♦ CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR : écrire ♦ AVEZ-VOUS PRIS UN SCÉNARIO ? : écrire ♦ COMMENT TU ES TOMBÉ(E) SUR LE FORUM ? : écrire ♦ UN MOT EN PLUS ? : écrire

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MessageSujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeLun 28 Mai - 0:56

    Pour rester dans le thème du forum, ce serait intéressant de partager nos goûts en matière Disney. Qu'en pensez-vous ? - quand je dis Disney, c'est plus global enfaite, je devrais dire Dessins animés pour accueillir des films comme Le cygne et la princesse ou encore Anastasia mais sans pour autant prendre en compte TOUS les dessins animés, genre Denver & Starla, ça ne marche pas.



Disney & toi ♥


    [g]1 ► Quel est ton Disney favori ? maximum top 3 [g]

    [g]2 ► Quelle est ta princesse préférée ? [g]

    [g]3 ► Quel est ton méchant préféré ? [g]

    [g]4 ► Ton top 3 des chansons Disney ? [g]

    [g]5 ► Quel ton animal préféré chez Disney ? [g]

    [g]6 ► As-tu une réplique culte ? [g]

    [g]7 ► Quel est ton couple favori ? [g]

    [g]8 ► Quel est le Disney que tu apprécies le moins ? [g]

    [g]9 ► As-tu une scène qui te fait pleurer ? [g]

    [g]10 ► Quel personnage t'insupportes le plus ? [g]

    [g]11 ► Le Duo ( et non couple ) que tu affectionnes le plus ? [g]

    [g]12 ► Et la scène qui te fait le plus rire ? [g]

    [g]13 ► Quel est le couple que tu aimes le moins ? [g]

    [g]14 ► Quelle est la chanson que tu n'aimes pas ? [g]

    [g]15 ► Que penses-tu des suites de Disney ? [g]

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MessageSujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeMer 30 Mai - 5:51

Long Beach. Nous sommes le dix-huit décembre mille-neuf quatre-vingt-neuf et la jeune Ashley montre le bout de son adorable nez pour la première fois. Elle est la deuxième fille de Shannon et John et sera aussi leur dernier enfant. La famille Benson mène une vie des plus ordinaire à Long Beach sur la côte californienne. Ashley ne manque de rien, elle est très proche de ses parents et très complice avec sa grande sœur - qu'un an son aînée - avec qui elle a toujours plus ou moins tout partagé durant leur enfance. Il ne faut pas longtemps avant qu'Ashley s'intéresse au domaine artistique - nullement aider par le fait que sa mère soit une ancienne chorégraphe - c'est donc à trois ans, que la blonde commence des cours de danse et plus précisément des cours de Hip Hop et de Jazz. Elle s'intéresse aussi à la chanson, plus que de chanter dans la baignoire avec sa soeur, elle fait aussi partie de la chorale de son école et est d'ailleurs sélectionnée comme soliste alors qu'elle n'a que quatre ans. Un an plus tard, sa mère les emmène - elle et sa soeur Shaylene - passer une audition pour entrer dans une agence de mannequin. Si sa soeur obtient quelques shooting, c'est Ashley qui décroche le gros lot en décrochant une place dans l'agence de mannequin The Ford Modeling Agency. Grâce à l'agence, elle décroche des rôles pour des publicités en tout genre et se prend d'amour pour la comédie. C'est donc en parallère de sa carrière de mannequin, que la jeune fille prend des cours de théâtre et se décide à poursuivre sa scolarité à domicile. Toujours très soutenue par ses parents et aussi par sa grande soeur, Ashley signe son premier long contrat pour la série Des jours et des vies , série dans laquelle Benzo va rester trois ans et où elle va beaucoup apprendre de ce métier et encore aujourd'hui elle est très proche des acteurs qui jouaient à l'époque ses parents. En 2004, elle obtient son premier rôle au cinéma, même si c'est loin d'être un grand rôle, Ashley prend plaisir à se voir sur un écran géant grâce au film 30 ans sinon rien.

Elle poursuit sa carrière d'actrice en enchaînant les projets séries et films, notamment en jouant dans un épisode de Supernatural mais aussi des Experts, Miami. Elle obtient son premier rôle dans le film American Girls 4 , film pour lequel elle a dû travailler sur son vertige mais aussi sur le côté chorégraphique et par chance sa mère était à ses côtés pour cette préparation. Elle obtient un autre rôle important dans le film Fab Five où elle apprend beaucoup du travail de ses partenaires. En 2008, elle décroche un rôle dans la série Eastwick. Elle obtient son diplôme de fin de lycée durant cette année et peut désormais se consacrer pleinement à sa carrière d'actrice. Elle fait quelques apparitions dans des clips musicaux et en décembre 2009, elle passe l'audition pour la série Pretty Littles Liars et obtient le rôle d'une des quatre protagonistes : Hanna Marin. Elle gagne en notoriété grâce à cette série et lui permet de recevoir des centaines de propositions de films. Elle a notamment tourné L'Ange des neiges avec Chad Michael Murray et a fait une apparition dans la série de MTV When I was 17. Début 2012, elle commence le tournage du film Spring Breakers qui promet de casser son image lisse. Toujours en contrat avec la série Pretty Littles Liars, Ashley vient tout juste de terminer le tournage de la troisième saison et elle a encore tout pleins de projets en cours...
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Selena M. Gomez

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MessageSujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeJeu 5 Juil - 5:23

Eléonie Shelley Gallagher


Mon prénom est Coralie, plus connu sous le nom de Cora. J'ai 18 ans et toutes mes dents. J'ai trouvé ce forum sur Pub RPG Design et je le trouve sublime, les couleurs font très été et la destination est originale. Je pense pouvoir me connecter au minimum cinq jour par semaine . Je souhaite ajouter que je vous aime, oui je suis comme ça.


La partie la plus importante de la présentation. Vous pouvez rédiger votre histoire comme vous le sentez, sous forme de RP, de journal intime, de récit chronologique. Ce qui compte, c'est que vous fassiez au minimum 25 lignes. La partie la plus importante de la présentation. Vous pouvez rédiger votre histoire comme vous le sentez, sous forme de RP, de journal intime, de récit chronologique. Ce qui compte, c'est que vous fassiez au minimum 25 lignes. La partie la plus importante de la présentation. Vous pouvez rédiger votre histoire comme vous le sentez, sous forme de RP, de journal intime, de récit chronologique. Ce qui compte, c'est que vous fassiez au minimum 25 lignes. La partie la plus importante de la présentation. Vous pouvez rédiger votre histoire comme vous le sentez, sous forme de RP, de journal intime, de récit chronologique. Ce qui compte, c'est que vous fassiez au minimum 25 lignes.

Je me nomme éléonie shelley gallagher, j'ai actuellement 22 ans. Je suis né le 15 décembre 1989, à Perth. Pour gagner ma vie, je travaille en tant que esthéticienne . Je fais parti des crèmes fouettées. A côté de cela, on me qualifie souvent de souriante, calme, susceptible et pessimiste . On peut facilement m'identifier physiquement grâce à mon énorme grain de beauté sur ma cheville droite, ou encore à cause de ma manie de rire la tête en arrière.. Peu de gens savent que j'ai volé beaucoup d'argent à ma mère.. On me dit que je ressemble beaucoup à Nina Dobrev.





Dernière édition par Selena M. Gomez le Jeu 5 Juil - 6:22, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeJeu 5 Juil - 6:21

❝BE STRONG❞
On la connait tous cette solitude qui nous mine parfois, qui sabote notre sommeil ou pourrit nos petits matins. C'est la tristesse du premier jour d'école, c'est lorsqu'il embrasse une autre fille dans la cour du lycée. C'est Orly ou la Gare de l'Est à la fin d'un amour. C'est l'enfant qu'on ne fera jamais ensemble. C'est quelques fois moi, c'est quelques fois vous.
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MessageSujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeJeu 16 Aoû - 5:22

Née à New York, la jolie Angel est la première fille du couple Pomeroy - oui comme les hôtels Pomeroy - Monsieur et Madame Pomeroy avaient déjà deux fils, et l'arrivée d'une petite princesse les combla de bonheur. Je vous laisse imaginer, en ayant un père qui possède une petite dizaine d'hôtels dans le pays, Angel n'a jamais manqué de rien. Une mère au foyer, des frères protecteurs et une jeune fille au pair différentes tous les ans, oui Angel a connu une vie de princesse. Mais à l'adolescence, même la fille la plus gâtée du monde se rebelle et se fut le cas pour la blonde. Rien de bien extraodinaire, elle séchait les cours, rentrait à pas d'heure et ne se gênait pas pour répondre à ses parents. Mais la goutte qui fit déborder le vase, se fut la premier tatouage d'Angel - rien d'extravagant, juste une petite fleur au niveau du poignet gauche - et quand votre enfant est hors de contrôle et que vous avez de l'argent, qu'est-ce que vous faîtes ? Vous vous débarrassez du problème en l'envoyant en pensionnat - exclusivement féminin bien sûr - au milieu de la campagne anglaise. Quel bel exemple de parents qui savent prendre leur responsabilité. A la minute où Angel posa les pieds sur le sol anglais, elle se jura de ne plus jamais adresser la parole à ses géniteurs. Américaine, je suppose ? Comme dans beaucoup de pensionnat, Angel partageait sa chambre avec d'autres filles. Non, je suis Russe, crétine ! Définitivement Américaine, Bienvenue en Europe !. Le regard noir d'Angel suffit à faire déguerpir la jeune anglaise. Se croyant seule dans la chambre, Angel se laissa pleurer. Si tu montres la moindre faiblesse, ils te lâchent plus. Angel vit apparaître un mouchoir devant elle, et à l'accent elle pouvait deviner qu'elle avait à faire à une autre américaine. Sascha, je viens de Floride. Angel venait de se trouver une alliée de taille dans cet affreux décor. Deux années passées dans ce pensionnat, elles étaient inséparables. Enchaînant les heures de retenues, les travaux d'intérêt généraux et les notes lamentables - pourtant leurs parents continuaient de payer l'école et ainsi elles ne furent jamais renvoyées jusqu'au jour...- Par une belle après-midi de printemps, les deux filles avaient réussit à sécher les cours et se retrouvèrent dans l'immense parc du pensionnat. Dans deux mois, tout ça c'est fini. Je n'arrive pas à croire qu'on est créché dans ce taudis pendant deux ans. Si nous n'avons pas notre diplôme, tu sais on pourrait rester un an de plus ici, toutes les deux, ensemble. Haha, ils nous donneraient notre diplôme quand bien même on rendait copie blanche, juste pour se débarrasser de nous ! Mais je sais ce que tu veux dire, tout ça va me manquer... Et elle ponctua sa phrase par un tendre baiser sur les lèvres d'Angel. Et cet instant fut comme une délivrance pour la jeune blonde, déjà plusieurs mois qu'elle était tiraillée par les sentiments qu'elle éprouvait pour sa meilleure amie et savoir qu'ils étaient réciproques fut un soulagement pour Angel. Je t'aime. A la suite de ces mots, Angel entendit un hurlement. Celui-ci ne provenait pas de Sascha mais de l'une des surveillantes qui se trouvait derrière elles. Enfants du Diable. Et se fut l'exclusion, peu importe le prix que pouvait mettre les parents, Sascha et Angel furent exclues pour conduite intolérable. Oui l'amour est donc intolérable - belle leçon de vie qu'appris Angel ce jour-là.

A son retour, Angel enchaîna les petits boulots - ayant été reniée par ses parents - pendant plusieurs mois, économisant suffisamment d'argent pour rejoindre Sascha en Floride. Se rendant à l'adresse qui était celle de son amie, Angel tomba de haut en apprenant qu'aucune famille Hopkins n'avait jamais habitée dans cette ville. Et c'est après plusieurs semaines de recherches qu'Angel fit face à la réalité, elle ne connaissait rien de Sascha et celle-ci n'avait pas répondu à son "Je t'aime" lors de cet après-midi...Le coeur brisé et avec le peu de dignité qui lui restait, Angel s'installa en Floride et commença un job de barmaid. Quelques années plus tard, Angel était toujours barmaid dans ce club branché d'Orlando et avait à présent sa petite vie dans cette ville. Elle n'avait jamais eu de nouvelles de Sascha et elle essayait de se convaincre qu'elle l'avait oubliée. Ses histoires d'amours jusqu'à présent, n'avait été que des histoires de fesses et uniquement avec des hommes. A vingt-deux ans, elle menait sa vie comme elle le souhaitait. Elle avait de temps en temps ses frères au téléphone mais jamais aucun de ses parents -qui avaient apparemment divorcés récemment - Bref elle était bien loin de sa vie New Yorkaise mais elle ne se plaignait pas. Excusez-moi, je sais il est tard mais pourriez-vous me renseigner ? Où se trouve l'hôtel Pomeroy ?. Croyant à une blague et venant tout juste de fermer le club - il était cinq heures du matin - Angel tourna les talons, mais le jeune homme la retint par le bras. Loin de moi, l'idée d'être impoli mais je suis à pieds et je tourne depuis plus d'une heure pour trouver ce putain d'hôtel. Angel étouffa un rire, ce n'était donc pas une blague et le jeune homme n'avait probablement aucune idée de qui elle était. Puis il était plutôt mignon, dans son costume Ralph Lauren, tout propret et se contenant pour ne pas exploser en jurons. Je vais vous conduire, ce n'est pas vraiment à côté. De ce qu'elle avait compris, il était ici pour un stage en immobilier et Angel le revut plusieurs fois au club, trouvant toujours un moyen pour que la jeune blonde le raccompagne. Puis arriva ce qui devait arriver, ils finirent une nuit ensemble mais alors qu'elle ne s'attendait pas à revoir le jeune homme, il revint encore et encore au club...et ils finirent par sortir ensemble - une première pour Angel qui n'avait jamais connu de relations sérieuses - à la fois méfiante et excitée par cette nouvelle expérience...Mais il ne fallut que quelques mois pour que la jeune femme ne tombe amoureuse - s'interdisant toutefois de dire "Je t'aime" - Après un peu moins d'un an de relation, et alors que son stage se finissait, il déclara sa flamme. Je vais repartir pour Folly Beach et j'aimerais que tu viennes avec moi, que tu rencontres ma famille et mes amis et que tu m'épouses. Une fois la surprise passée, Angel se laissa submerger par le bonheur - un bonheur qu'elle ne savait pas encore de courte durée - Arrivée à Folly Beach, à peine quelques jours après, alors qu'elle avait déjà fait la connaissance des parents et des amis proches de son futur époux, Angel était sur le point de rencontrer la tante et les cousines de son fiancé. Chérie, je tiens absolument à te présenter en personne ma cousine préférée, Sascha. Bien sûr c'est un prénom commun, mais ce regard était unique et à l'instant où elle croisa ce regard, Angel sentit le sol se dérober sous ses pieds.
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MessageSujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeJeu 30 Aoû - 3:59

Chez les Oxley, la famille on connait pas. Une histoire pour le moins originale, Declan Rhodes et Veronica Oxley - amis depuis leur plus tendre enfance - décident d'avoir des enfants ensemble, sans même être un couple mais juste parce qu'ils sont persuadés que le mélange de leurs génétiques mettra au monde des enfants parfaits. Oui deux narcissique en somme, âgé d'à peine vingt ans et avec plus d'une drogue circulant dans leurs veines, bref cela s'annonçait déjà être un désastre. Pourtant ils ont eu deux filles - quatorze mois de différence entre le deux - Deux petites princesses qu'ils ont choyés plus que nécessaire. Seulement voilà à un moment donné, on grandit et la vie commune entre amis ça pèse. Il aura fallu dix ans pour que Declan Rhodes se décide à reprendre raison, il veut éloigner ses filles de son ex-meilleure amie - elle, toujours accro aux drogues - mais le contrat qu'ils avaient fait des années plus tôt précisait bien, qu'ils possédaient chacun un enfant et non les deux. C'est affreux de le dire de cette façon mais c'est pourtant la pure vérité. C'est ainsi que Declan Rhodes partit avec son autre fille, laissant Loreleï - âgée de dix ans - avec une mère totalement irresponsable.
Lory, LORY ! F***, je t'ai demandé d'aller me chercher ma came, qu'est-ce que tu fous ? Maman, j'ai un devoir de science à terminer...Et puis, tu sais que je n'aime pas y aller. Loreleï avait quatorze ans à cette époque, et il n'était pas rare que sa mère l'envoie lui cherche ses différentes drogues. Loreleï, malgré l'environnement dans lequel elle évoluait, faisait de son mieux pour suivre à l'école et avoir de bonnes notes. Elle ne plaignait jamais à quiconque de sa vie familial. Elle n'avait aucun contact avec sa soeur ou même son père, sa mère interdisait tout contact.
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Hey toi ! La petite blonde, je t'ai déjà quelque part non ? Après s'être fait virée de son lycée - pour cause de violence répétée, oui en grandissant et l'adolescence aidant, Loreleï était devenue plus caractérielle et lorsqu'elle entendait des remarques sur elle ou sur sa droguée de mère, elle sortait les poings - Loreleï venait d'intégrer une nouvelle école pour sa dernière année de lycée. C'est une technique de drague répandue dans ce lycée ? ça dépend, ça fonctionne ? Loreleï n'était pas du genre à se laisser charmer, surtout de façon aussi ringarder, mais elle était nouvelle et pour être franc, ce garçon était loin d'être vilain. Ils ont commencer à traîner ensemble, puis officialisèrent leur relation de couple. Cette dernière année de lycée fut relativement magique pour Loreleï, grâce au soutien de son petit-ami et une certaine distance prise avec sa mère, elle réussit à obtenir une bourse pour intégrer l'université de New York. Mais Loreleï allait apprendre que le bonheur, ce n'est qu'éphémère. Alors qu'elle voulait faire une surprise à son amoureux, Loreleï se renseigna quelque peu - puisqu'elle n'avait jamais mis les pieds chez lui - et c'est ainsi qu'elle tomba de haut. Celui qui était son premier amour et celui a qui elle se confiait, était en vérité le fils d'une assistance sociale qui suivait de très près le dossier "Oxley". Loreleï se sentit trahie, mais le pire restait à venir, alors qu'elle venait de fêter ses dix-huit ans, quelques semaines après sa mère se suicida. Tous ces évènement en moins de trois mois, fragilisèrent fortement la jeune blonde. Elle réussit à gagner son émancipation et décida de ne pas poursuivre ses études à New York comme il était prévu avec son ex petit-ami. Elle voulait partir quelque part où personne ne connaîtrait son histoire et où elle pourrait commencer sa propre vie. Et c'est ainsi qu'elle débarqua à Blue Hollow.
Voilà maintenant quelques années que Loreleï mène sa petite vue tranquille ici. Elle est vendeuse dans une boutique de la ville, a pa smal d'amis, pas mal d'amants - plus ou moins régulier - mais rien de sérieux dans sa vie. Bref une vie paisible comme elle aime. Enfin ça c'était encore le cas, il y a quelques jours avant que son seul et unique ex amour débarque en ville, fiancé avec sa sœur - dont Loreleï avait presque oublier l'existence - et le mieux c'est la raison de leur venue, inviter Loreleï à leur mariage.

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MessageSujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeJeu 30 Aoû - 6:12

Selena M. Gomez a écrit:
Blue Hollow, 1990. Monsieur et Madame Oxley sont dans l'impossibilité d'avoir des enfants, après plusieurs années de réflexion et voyant le temps les rattraper, ils décident de recourir à l'adoption. Ayant toujours rêver d'avoir deux enfants - et plus particulièrement deux filles - ils arrivent, grâce à l'aide d'un ami bien placé, à adopter deux adorables fillettes - âgée d'à peine un an à l'époque - deux petites princesses aussi différentes l'une de l'autre, une brune et l'autre blonde, l'une calme et l'autre bruyante. Quelques années après l'adoption, Madame Oxley eu un cancer dont elle finira par décéder peu de temps après. Les filles âgée de six à l'époque, le vécurent très mal et particulièrement Loreleï.
C'est une évidence pour tout le monde, Loreleï n'était pas la préférée de son père. Dotée d'un mauvais caractère et d'une tendance colérique, elle ne ressemblait en rien à sa soeur, calme et ô combien hypocrite. Arrête de copier mon devoir d'anglais, Lory. Sois pas idiote, je suis en train de faire ma biologie PAPA, Lory elle copie sur moi ! C'est un exemple parmi tant d'autres, mais cette fois-là Monsieur Oxley consigna Loreleï sans même vérifier ses dires. Elle était le vilain petit canard de la famille et aucun de ses efforts n'étaient pris en compte. Contre sa soeur, Loreleï aurait toujours tord et le pire c'est que la plupart des personnes pensaient la même chose, comment une enfant si calme et douce pourrait mentir et manipuler les gens par derrière, non c'était forcément la faute de Lory. Elles grandirent et Loreleï s'était finalement habitué au rôle de la mauvaise sœur. Ses résultats scolaire étaient mauvais, elle sortait souvent, buvait et fumait à l'insu de son père - enfin sans aucun doute, sa sœur avait dû la balancé mais peu importe - elle ne s'était jamais sentie membre de la famille depuis la mort de sa mère, alors peu importe les punitions, boire et fumer lui permettait de s'évader et aussi de rencontrer des gens qui ne la jugeait pas. J'ai été admise à l'école architecture de New York Pour une fois, cette joie Loreleï la partageait avec sa soeur, puisque cela signifiait qu'elle allait enfin être débarrasser d'elle, et ainsi peut-être se rapprocher de son père. N'ayant pas vraiment réussit ses études, Loreleï fut engagé en tant que vendeuse dans une boutique de la ville.

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En deux ans, sa relation avec son père ne s'était pas améliorée, il ne cessait de comparer ses deux filles, l'une étudiante à New York et l'autre simple vendeuse à Blue Hollow. Deux ans durant lesquels sa soeur n'avait pas eu la décence de venir les voir - même pas pour Noël - Dans ses lettres, elle se vantait d'être devenue une vraie New Yorkaise et n'hésitait pas à rabaisser Loreleï de façon subtile. Trois ans, avant qu'elle ne se décide à revenir à Blue Hollow - toute fraîche - faisant définitivement la fierté de Monsieur Oxley. [color=indigo]Alors soeurette, comment vont les amours ? Moi, à New York, ils se jetaient tous à mes pieds, ça ne m'étonnerait pas qu'il y en ai qui débarque ici.[/indigo] Loreleï n'avait jamais eu de relations sérieuses, elle enchainait les histoires sexuelles sans attache. Mais elle avait son meilleur ami - et accessoirement son meilleur coup aussi - dont elle était très proche. Et lorsque sa soeur lui posa la question des amours, elle savait qu'elle voulait seulement mettre Loreleï mal à l'aise une fois de plus. [color=coral]Eh bien, je suis fiancée.[/coral]. Ô malheur, quel mensonge elle n'avait pas fait là. Bien évidemment c'est le nom de son meilleur ami qui est sortis et bien évidemment, sa soeur proposa donc de l'inviter à dîner pour faire plus ample connaissance. C'était sympa la nuit dernière. Oh j'allais oublier, ma soeur et mon père veulent que tu viennes dîner vendredi soir. Dîner ? Pourquoi, et comment ils me connaissent d'ailleurs ? Ça c'est la partie amusante de l'histoire... Bien évidemment, il refusa. Il avait raison sur un point, il n'avait du gendre idéal, prêt à se caser...Pourtant le vendredi soir, il était là dans ses plus beaux habits.
Il put se rendre compte que Monsieur Oxley n'avait d'yeux que pour son autre fille, et que Loreleï était la honte de la famille. Pris d'une certaine pitié ou peu importe, il accepta de rentrer dans le jeu de Lory monnayant quelques dollars évidemment. Ils jouèrent le jeu quelques mois tant bien que mal. Hey Lory, attends. Tu pourrais rendre ça à ton fiancé, je crois qu'il l'a oublier hier soir. Loreleï n'eut pas le temps de réagir, qu'elle se retrouva avec l'un des caleçons de son prétendu fiancé dans les mains. Il avait couché avec sa soeur. Plus que le fait que son secret soit découvert, Lory eu le coeur brisé en apprenant la trahison de celui pour qui elle éprouvant plus que de l'amitié. Avec toutes les filles que tu peux te faire, non il a fallu que tu choisisses ma soeur ! Devant son ami quelque peu perdu, Lory sortit le caleçon de son sac et le jeta à la figure de ce dernier. Ne prends pas la peine de te chercher des excuses, ce caleçon je le connais et c'est le tien ! Oui, effectivement c'est le mien mais je ne comprends pas, je n'ai pas couché avec ta soeur.... Loreleï se contenta d'un regard noir, et d'un fuck you silencieux avant tourner les talons. Lory, attends. Tu me prends pour un con, pourquoi coucher avec ta soeur alors que ça fait des mois, qu'on leur fait croire qu'on est fiancés. Il pris une respiration, il était sur le point de faire sa déclaration, de dire qu'il était tomber amoureux d'elle et qu'il ne jouait plus...Mais Loreleï reprit la parole avant lui et le coupa net dans son élan. Parce que tu n'es qu'un connard qui ne pense qu'avec son entrejambe !. Touché dans égo et blesser d'entendre de telles paroles venant de celle qui était sa meilleure amie, il répliqua par un doigt d'honneur.

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MessageSujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeMar 4 Sep - 11:00

Allonge toi sur ce divan, parle nous de ta vie

Spencer est le fruit d'un remariage, unique enfant du couple Wilbert. Avant sa naissance, sa mère avait été mariée pendant cinq ans et de ce mariage était né une petite fille, Zoelyn. Zoelyn a alors deux ans lorsque ses parents se séparent et l'année suivante sa mère est remariée et enceinte. En étant la fille d'un avocat londonien réputé et d'une mère anciennement mannequin, Spencer ne risquait pas de manquer de quelque chose ou peut-être d'amour fraternel. Grandir dans les quartiers chics de Londres, ce n'est pas si terrible. « Maman, il y a la soirée de Pete ce soir, tu te souviens ? » Spencer et Zoelyn étaient très différentes, peut-être parce que Zoe faisait tout pour cela. Et l'une des nombreuses différences des deux sœurs, c'était les sorties. Spencer était une adolescente studieuse et assez réservée alors que sa grande sœur, était une fille populaire et invitée à toutes les soirées. « C'est la quatrième fois cette semaine, Zoe. Bon très bien, mais prends Spence avec toi, ça lui fera du bien. » Outre le fait que leur mère tente désespérément de créer un lien fusionnel entre elles, Spencer savait aussi que sa mère espérait qu'elle devienne elle aussi populaire. Mais ce n'était pas dans le tempérament de Spencer, elle était plus comme son père - réservée et réfléchie - faire la fête jusqu'au bout de la nuit avec des personnes trois fois plus âgée qu'elle, ça ne l'attirait pas du tout - « Non mais t'es sérieuse, je ne vais pas me ramener à la fête avec une gamine de quatorze ans ! » Et comme souvent, Madame Wilbert abdiqua et laissa sa plus grande fille sortir par elle-même. Non pas que Spencer avait d'y aller mais il est vrai qu'elle rêverait d'avoir une toute autre relation avec sa sœur. Mais lorsque vous avez vécu plus de quatorze ans ainsi, avec une demi-sœur qui vous reproche le divorce de ses parents et ne cesse de vous rabaisser, vous avez peu d'espoir de voir votre relation évoluer positivement.

« Je la déteste ! » « Ne parle pas comme ça de ta sœur, Spence » « Mam's elle a publié des pages de mon journal intimes sur internet... » « oh ça suffit, tu n'as aucune preuve que ce soit elle. » « Mais quand est-ce que tu vas ouvrir les yeux et te rendre compte que ta fille est une b**** ? » La gifle, Spencer aurait dû s'y entendre mais elle ne l'avait pas prévue aussi forte. C'est alors avec un regard écœuré pour sa mère qu'elle partie s'enfermer dans sa chambre. On ne pouvait pas dire que Madame Wilbert aimait une de ses filles plus que l'autre, mais il était évident qu'elle était moins sévère avec Zoelyn - se sentant responsable de son enfance malheureuse - ( enfin enfance malheureuse, vivre à Oxford et avoir l'argent qui coule à flot, y'a pire ). Zoelyn avait toujours plus ou moins mener la vie dure à Spencer mais récemment, c'était devenu ingérable pour la jeune brune. Alors qu'elle tenait un journal sur son ordinateur depuis quelques mois, se confiant sur ses coups de cœur ou sur les secrets que ses amies lui donnait, Zoe ne trouva rien de mieux que mettre ce petit journal en ligne sur internet et en invitant un maximum de lycéens à aller le lire. Je vous laisse imaginer ce que cela représente lorsque vous avez seize ans et que tout votre lycée est au courant de vos petites secrets. Se plaindre à sa mère n'avait eu aucun effet, dans ce cas Spencer n'avait d'autres choix que d'en parler à son père. Celui-ci - qui était conscient de la relation entre les deux filles - fit fermer le blog très rapidement et permis à Spencer de rester quelques semaines à la maison - le temps que d'autres rumeurs viennent animées le lycée - Mais son plus beau geste fût de financer l'école de danse de Zoelyn située en Californie. Ainsi la méchante sœur fit ses valises pour un autre continent et Spencer fût enfin tranquille.
On ne va pas mentir, la vie de Spencer s'améliora rapidement après le départ pour la Californie de sa demi-sœur - plus de disputes avec sa mère, moins de problèmes au lycée, et Spencer devint à son tour une jeune fille cool et populaire - Il n'était pas rare que sa mère parte aux États-Unis pour visiter sa fille, mais ni Spencer, ni son père ne l'accompagnait. Spencer avait toujours de bonnes excuse - telles que les cours ou son emploi à mi-temps - Elle se portait bien mieux loin de Zoelyn et elle n'avait aucune envie de perdre son temps à la visiter. Après l'obtention de son diplôme, Spencer avait suivi pendant deux ans une formation dans la communication, et à présent elle travaillait en tant que standardiste dans le cabinet de son père - ce qui est pour elle, un travail temporaire, pour se faire une petite expérience -.
Pendant ces quatre dernières années, Zoelyn n'était jamais revenue en Angleterre - pas besoin l'unique personne qu'elle avait besoin de voir, c'était sa mère et celle-ci faisait le déplacement - De ce que sa mère en disait, Spencer savait que Zoelyn avait finit son école de danse et avait rejoint une troupe assez réputée sur la côte Californienne, qu'elle était en couple avec le fils d'un producteur de spectacle, et que tout allait bien pour elle. Il y a de ça six mois, alors que sa mère revenait d'une de ses visites, elle annonça à Spencer une grande nouvelle. « Oh Spence, tu vas être heureuse...Zoe se marie à la fin de l'année. » « Pauvre fou... » « De quoi ? Oh peu importe...La bonne nouvelle, c'est qu'elle veut que tu sois l'une de ses demoiselles d'honneur ! » Spencer manqua de s'étouffer avec sa propre salive. Avait-elle bien entendue, Zoelyn, celle qui avait fait de sa vie un enfer jusqu'à ce qu'elle parte aux États-Unis voulait que elle, Spencer, soit l'une de ses demoiselles d'honneur. Ça sentait le piège à plein nez. « Non merci. J'ai un travail, je ne peux pas partir comme ça. » sourire innocent et Spencer pensait en avoir fini. « Ne sois pas idiote, ton père a déjà validé ton mois de vacances » Pour la seconde fois, Spencer manqua de s'étouffer avec sa salive. Son père l'avait trahie. Elle n'avait désormais aucun moyen de reculer et savoir qu'elle allait passer un mois en compagnie de sa demi-sœur, à aider pour les préparatifs, fut assez pour que Spencer pense à aller s'acheter une corde.

Sa mère étant tellement pressée d'être aux côtés de sa fille pour les préparatifs du mariage, avança le départ de deux semaines et bien Monsieur Wilbert accepta d'accorder plus de vacances à Spencer. Spencer bouillait de l'intérieur, elle tentait de faire bonnes figures face à sa mère mais elle appréhendait l'arrivée en Californie. Spencer avait appris que Zoelyn habitait dans une charmante villa à Lynwood et que c'est ici qu'elle et sa mère allaient séjourner. « Oh Spence, comme tu as changé. Tu es sublime et je vois que tu as réglé ce problème de peau. » Si Spencer avait changer, ce n'était pas la seule. Zoelyn semblait plus adulte et surtout plus avenante que lorsqu'elles étaient adolescentes. Bien que la dernière partie de sa phrase laissa Spencer penser que finalement non, elle n'avait peut-être pas changer tant que ça. « Bon alors, laisse-moi t'expliquer rapidement, j'ai quatre demoiselles d'honneur dont toi. Chacune d'entre vous portera une couleur différente, et la tienne est...orange. » C'était à présent une certitude, Zoe avait beau jouer la carte des sœurs proches, tout ceci n'était qu'une énième humiliation pour Spencer qui détestait la couleur orange autant que sa demi-sœur présente en face d'elle, un sourire forcé sur le visage. Ne voulant donner aucun plaisir à sa sœur, Spencer acquiesça sans sourire. « J'allais oublier aussi, chaque demoiselle d'honneur sera en couple avec l'un des garçons d'honneur et comme tu es la dernière a choisir, je suis désolée mais tu es avec Rory.» Elle n'était pas désolée du tout, Spencer pouvait le voir dans ses yeux. Même si elle n'avait aucune idée de qui était Rory, elle pouvait se douter que sa sœur l'avait choisis pour qu'il lui mène la vie dure. « Petite, grosse et boutonneuse, ta sœur a un peu exagéré...C'est vrai que tu n'es as bien grande et que tu as quelques rondeurs mais habillée en noir et avec talons, c'est parfait ! » Cela faisait une journée et demi que Spencer et sa mère était arrivée à Lynton, et Spencer essayait de se mettre à l'écart le plus possible. Cet après-midi là, elle s'était installée dans le jardin avec un livre. Elle était plutôt tranquille jusqu'à ce qu'un jeune homme s'installe sur le transat voisin. « Laisse-moi deviner, tu es Rory ? » Oui, ce mariage était l'occasion pour Zoelyn de martyriser un peu plus sa demi-sœur. Mais Spencer n'avait plus seize ans et elle savait à présent se défendre, avoir de la répartie et il était hors de question qu'elle laisse une fois de plus sa sœur l'humilier. Mariage ou pas, elle allait se défendre. Quelques jours passèrent et il s'avéra que Zoelyn avait bien choisit le compagnon de sa Spencer, Rory était arrogant et très imbu de sa personne, mais Spencer allait devoir passer au dessus de ça pour que son plan fonctionne. « Ok Rory, je ne vais pas tourner autour du pot ! Je sais pourquoi Zoe t'as mis avec moi...Et je te propose quelque chose de plus fun.» L'idée de Zoelyn était que Rory soit lourd au possible avec Spencer, et l'idée de Spencer était de ne pas laisser sa sœur gagner. « Tu proposes que l'on fasse croire à ta sœur, qu'on est tombé amoureux l'un de l'autre ? Est-ce une vérité sous-entendue ? » « Dans tes rêves ! C'est une sorte de jeu, je veux que notre histoire d'amour éclipse presque les mariés. » « Tu es presque aussi cinglée que ta sœur...Mais je suis joueur alors compte sur moi. » Il l'attira jusqu'à lui et Spencer se demanda si elle ne s’engageait pas dans quelque chose de trop gros pour elle. Elle n'était pas Zoelyn et n'était pas sûre de pouvoir jouer aussi bien qu'elle. Une semaine passa et Spencer savourait sa petite vengeance, Zoelyn était quelque peu irritée et Spencer savait que c'était à cause du couple qu'elle formait avec Rory - enfin du faux-couple - Ces deux-là passèrent beaucoup de temps ensemble afin que leur couple soit crédible, et même si Spencer ne se l'avouait pas c'était la première fois qu'elle était aussi proche d'un garçon et elle commençait à apprécier Rory. Deux semaines avant le mariage, Zoelyn avait tenu à faire un grand repas en l'honneur de son fiancé et d'elle-même. « Je me permet de lever mon verre à mon cousin et sa charmante fiancée, grâce à qui j'ai rencontré mon adorable Spencer [...] et c'est de vous voir si heureux tout les deux, qui m'a donné envie de sauter le pas moi aussi. Alors si Madame Wilbert est d'accord, je souhaiterais demander la main de Spencer... » Idiot ! Spencer qui n'était pas au courant de ce qu'allait dire son complice se sentit blesser, et quitta le repas brusquement laissant tout le monde plus ou moins choqué. Alors qu'elle s'était réfugiée dans sa chambre, Spencer aperçut Rory sur le pas de la porte, sans réfléchir elle s'approcha de lui pour le repousser violemment. « Crétin ! » « Quoi ? Je ne comprends pas ta réaction, tu voulais éclipser les mariés...» « Ça va trop loin...peut-être que tu peux jouer de cette façon mais pas moi. » Un brin hystérique, Spencer était complétement perdue, elle ne savait plus si elle jouait ou pas, quels étaient ses sentiments et le baiser que Rory déposa sur ses lèvres, ne l'aida pas d'avantage. Bien sûr ils s'étaient déjà embrassés, mais toujours en public pour le bien de leur jeu, jamais en privé, jamais de cette façon. Réveillée par sa mère qui l'appelait de l'autre côté de la porte, Spencer mis quelques minutes à émerger, elle ouvrit la porte à demi. « Spencer Elizabeth Wilbert, peux-tu me dire où diable étais-tu passer ? Impossible de te trouver depuis hier après-midi, depuis que la proposition de Rory...D'ailleurs qu'est-ce que c'est que ce cirque, tu connais ce garçon depuis trois semaines... » Sa mère continua son discours sans fin, mais Spencer n'écoutait plus, du coin de l'oeil, elle venait de remarquer la présence de Rory dans son lit. Il était encore endormi et Spencer sentit l'angoisse monter en elle. Elle n'avait plus aucun souvenir depuis le fameux baiser, elle avait certainement trop bu...Comme en témoignait son haleine d'après les dires de sa mère. « Mam's, tu me laisses prendre ma douche et je descends m'excuser auprès de Zoelyn.» Spencer savait dorénavant que son plan était une très mauvaise idée, sa mère était en colère, la vengeance de Zoelyn allait être terrible et ce qu'elle ressentait pour Rory allait tôt ou tard lui briser le cœur.

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MessageSujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeLun 10 Sep - 4:58

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MessageSujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeMer 26 Sep - 3:20

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MessageSujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeMer 10 Oct - 1:05

« Maman, où est Julian ? » Julian, ce n'était pas le père de Bunny, c'était le second mari de la mère de celle-ci. Madame Cleeves était du genre extravagante, elle s'était mariée avec son premier mari dans l'unique but d'ennuyer ses parents qui le détestaient et pour les ennuyer d'avantage, elle était même tombée enceinte de cet homme. Bien évidemment un mariage dans l'unique d'emmerder ses parents, ça ne dure jamais longtemps. Bunny n'a que quatre ans lorsque son père quitte le domicile familial et dès lors l'unique relation qu'elle aura avec son père, ce sera un échange de mails et rien de plus. « Julian est partis, ce n'est plus que toi et moi maintenant, ma puce. » Neuf ans, c'est l'âge qu'elle avait et c'était déjà la deuxième fois qu'elle voyait sa mère divorcée. Et comme Madame Cleeves n'était pas du genre tendre avec ses anciens compagnons, ses divorces étaient toujours très houleux. Il ne faudra pas longtemps avant que la mère de Bunny ne se remarie pour la troisième fois, sous le regard décontenancé de son unique fille. Alors âgée de treize ans, Bunny se promet de ne jamais se marier, de ne pas finir comme sa mère.
Côté scolaire, Bunny est une élève moyenne dirons-nous, beaucoup plus portée par le sport, c'est une très bonne cheerleader mais n'est pas attirée par ce côté populaire, ce qui fait d'elle une élève plus ou moins discrète. Comme toutes adolescentes, elle avait des relations amoureuses, mais rien de bien sérieux...Enfaite si, elle était très amoureuse de celui qu'elle présentait comme son meilleur ami, Dany, mais c'était comme si tout se passait de sorte qu'ils ne puissent jamais s'avouer leurs sentiments. L'un était en couple lorsque l'autre n'y était pas, et le peu de fois où Bunny aurait pu s'exprimer sur ses sentiments, elle avait seulement renoncer - par peur -. « Hey Dany. » Il venait à elle. Elle avait apprit dans la matinée qu'il avait rompu la veille avec sa copine, peut-être que c'était sa chance ou peut-être qu'elle ferait mieux d'attendre quelques jours...« Je suis amoureux. » Bunny était plutôt longue à réagir et cette fois, c'était encore pire. Elle dévisagea longuement son ami, tout à coup il semblait mal à l'aise et quant à elle, elle n'était pas sûre d'être capable de prononcer un mot. Elle fit donc ce qui lui semblait le plus naturel. Elle s'approcha de Dany pour l'embrasser.

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« Comment était la bague ? » « Est-ce que ça a vraiment une importance ? » Bunny avait ouvert une petite société d'organisation de mariage avec sa meilleure amie quelques années auparavant - un peu plus d'un an - c'était encore tout nouveau pour elles, mais elles commençaient doucement à se faire un nom à Fairview. Les deux amies avaient eu cette idée alors qu'elle étaient au lycée, Bunny pensait alors que ce métier lui permettrait de voir le mariage comme quelque chose de positif, mais combien de fois, elle avait eu des nouvelles de ses clients disant qu'ils allaient annuler le mariage ou les disputes qu'engendrait l'organisation de cet évènement. Bref rien de convaincant pour Bunny, qui restait persuadée que le mariage était la fin d'une histoire. « Comment est-ce qu'il a réagit ? » Quelques jours auparavant Dany avait demander Bunny en mariage et bien évidemment cette dernière n'avait rien répondu, ce qui revenait à dire non. Elle avait été surprise, lui qui la connaissait si bien, comment avait-il pu penser qu'elle dirait oui. « Pas très bien, il m'évite depuis ça.» « C'est étonnant ! » Plus que son associée et sa meilleure amie, Bunny considérait cette jeune femme comme sa sœur et elle prenait ses paroles très au sérieux, alors quant celle-ci se permettait d'être ironique, Bunny se sentit mal. « Ma mère s'est remariée pour la quatrième fois, il y a moins de deux mois et je ne lui laisse pas un an avant de divorcer...Alors je sais que ce n'est pas simple à comprendre, mais je n'ai pas envie d'épouser Dany parce que je l'aime beaucoup trop, pour accepter que notre histoire se termine au tribunal où on s'entretuera pour être celui qui repart avec l'argent de l'autre.» Bunny poussa un long soupir et mis sa tête dans ses mains. Son amie s'approcha d'elle pour la prendre dans ses bras. « Allez Bunny, ça va aller. Je suis sûre qu'il finira par comprendre. » Bunny se laissa aller aux larmes dans les bras de sa meilleure amie. Elle était prête à tout les sacrifices pour son couple mais pas celui du mariage, c'était une promesse qu'elle s'était faite à elle-même et elle était persuadée que rien de bon ne ressortirait d'un mariage.

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MessageSujet: Re: A Hollywood aussi il y a des règles.   A Hollywood aussi il y a des règles. Icon_minitimeMer 10 Oct - 4:42

prénom+nom au choix
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CÉLÉBRITÉ --------- SOPHIA BUSH
nom et prénom - au choix âge et date de naissance - vingt-cinq ans, au choix pour la date de naissance origine et lieu de naissance - au choix statut civil officiel - libre mais elle n'est pas mariée. métier et études - organisatrice de mariage groupe - au choix.

LIENS ENTRE VOTRE SCÉNARIO ET VOUS
« Comment était la bague ? » « Est-ce que ça a vraiment une importance ? » Bunny avait ouvert une petite société d'organisation de mariage avec sa meilleure amie quelques années auparavant - un peu plus d'un an - c'était encore tout nouveau pour elles, mais elles commençaient doucement à se faire un nom à Fairview. Les deux amies avaient eu cette idée alors qu'elle étaient au lycée, Bunny pensait alors que ce métier lui permettrait de voir le mariage comme quelque chose de positif, mais combien de fois, elle avait eu des nouvelles de ses clients disant qu'ils allaient annuler le mariage ou les disputes qu'engendrait l'organisation de cet évènement. Bref rien de convaincant pour Bunny, qui restait persuadée que le mariage était la fin d'une histoire. « Comment est-ce qu'il a réagit ? » Quelques jours auparavant Dany avait demander Bunny en mariage et bien évidemment cette dernière n'avait rien répondu, ce qui revenait à dire non. Elle avait été surprise, lui qui la connaissait si bien, comment avait-il pu penser qu'elle dirait oui. « Pas très bien, il m'évite depuis ça.» « C'est étonnant ! » Plus que son associée et sa meilleure amie, Bunny considérait cette jeune femme comme sa sœur et elle prenait ses paroles très au sérieux, alors quant celle-ci se permettait d'être ironique, Bunny se sentit mal. « Ma mère s'est remariée pour la quatrième fois, il y a moins de deux mois et je ne lui laisse pas un an avant de divorcer...Alors je sais que ce n'est pas simple à comprendre, mais je n'ai pas envie d'épouser Dany parce que je l'aime beaucoup trop, pour accepter que notre histoire se termine au tribunal où on s'entretuera pour être celui qui repart avec l'argent de l'autre.» Bunny poussa un long soupir et mis sa tête dans ses mains. Son amie s'approcha d'elle pour la prendre dans ses bras. « Allez Bunny, ça va aller. Je suis sûre qu'il finira par comprendre. » Bunny se laissa aller aux larmes dans les bras de sa meilleure amie. Elle était prête à tout les sacrifices pour son couple mais pas celui du mariage, c'était une promesse qu'elle s'était faite à elle-même et elle était persuadée que rien de bon ne ressortirait d'un mariage.

Amies depuis leur plus tendre enfance, elles ont habiter la même rue jusqu'à ce qu'elles quittent le domicile familial. X ayant un an de plus que Bunny, elles n'ont jamais été dans la même classe, mais traînaient tout le temps ensemble entre les cours. Aujourd'hui elles sont associées, et c'est leur grande complicité qui fait que ça marche. Il arrive qu'elles se disputent et ne soit pas d'accord avec l'autre, mais ne restent pas plus de dix minutes sans se parler.
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